Gourdasse
Datte: 20/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... semence. Nous retombons côte à côte, épuisés et en sueur.
— Nom de Dieu ce que c’est bon, commente-t-elle. Ça faisait si longtemps…
— Que quoi ? Que t’avais envie de moi ?
— Mais non, prétentieux. Que j’avais pas baisé comme ça. Tu sais, c’est pas facile quand on n’a pas de boulot. On ne pense guère à autre chose et on se sent tellement rabaissée. Et en plus, quand on bosse un peu dans la famille, c’est pas facile non plus d’avoir une vie à soi. Et puis y a l’obsession des fins de mois, du loyer… Pas de fric pour sortir…
— Pourtant tu peux te faire offrir tout ce que tu veux, gaulée comme tu es.
— Ça, c’est sympa, j’y penserai. En même temps, j’aurais un peu l’impression de faire la pute…
— T’as pas eu cette impression-là ce soir, j’espère ?
— Oh non, j’avais juste très envie. Je crois que je suis contente de moi et du boulot que j’ai fait. Et puis pour être sympa à mon tour, au bureau elles rêvent toutes de coucher avec toi.
— Ah oui ?
— Ben oui, on cause entre filles. Et je suis pas fâchée de passer la première, même si y a que moi qui le sais, rassure-toi.
— Tiens, tiens, c’est sympa aussi, j’y penserai…
— Salaud ! Remarque je m’en fous, on n’est pas mariés. Mais ça me ferait suer que tu fasses ce que tu viens de me faire à la vieille Madame Visselard.
— Hahaha ! C’est curieux, mais je ne m’y vois pas du tout. Tu me refais un petit café ? Je n’ai pas encore terminé mes explorations…
— Hummm… Deux si tu veux !
Effectivement, ce furent deux cafés, mais ...
... le second après le deuxième tiers-temps. Car nous remîmes le couvert une troisième fois : je souhaitais absolument la trousser debout, il faut savoir profiter des avantages physiques, ce que nous faisons un peu avant l’aube. Elle s’appuie sur la fenêtre ouverte, tant nous avons chaud, et comme son vagin ne me donne plus aucune sensation tant il dégouline de nos sucs, je dois les utiliser comme lubrifiant pour la sodomiser en règle, pétrissant furieusement sa poitrine dilatée. Je laisse échapper les dernières gouttes de mes réserves taries dans ses entrailles, elle braille son plaisir au moment du passage d’un train, sur la voie juste en face. Et ça dure tout le week-end !
Dire que le lundi soit difficile est un euphémisme. J’ai les jambes en flanelle, les yeux au beurre noir et la tête au fond d’un seau plein d’écho. Quant à elle, la pleine forme ! Comme si elle m’avait pompé toute mon énergie en me pompant le dard… Je passe la journée enfermé dans mon bureau, bâillant à m’en décrocher la mâchoire. Je m’octroie une petite sieste réparatrice après le déjeuner, prétextant un rendez-vous extérieur. Le soir, après le brouhaha de l’heure du départ, on toque à ma porte :
— Mouais…
— Alors mon petit patron préféré, on ne vous a pas beaucoup vu aujourd’hui !
— Non, fatigué…
— Oh le pauvre chéri, mais que fait-il de ses nuits ? Je sais comment lui redonner la pêche…
Et cette grande déjantée pousse légèrement mon fauteuil à roulettes sur le côté et, malgré sa taille et la ...