1. Gourdasse


    Datte: 20/01/2024, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Parfois aussi, je m’enquière de son absence en arrivant :
    
    — En retard, la stagiaire ?
    — Non, non, aujourd’hui elle est aux archives départementales…
    — Bon, ben… ça l’occupe…
    
    À la fin de cette troisième semaine, le vendredi en fin d’après-midi, on grattouille à ma porte. C’est elle, toutes dents dehors, des documents à la main.
    
    — Je viens vous tenir au courant de l’avancée de mon travail…
    — C’est bien, entrez et asseyez-vous, j’en ai pour une minute.
    
    Elle s’assoit dans un cliquetis de ferraille, qui reprend à chaque fois qu’elle bouge. Je lève un peu le nez : un tas de bracelets métalliques s’entrechoquent à son bras. Mais par ailleurs, comme elle est grande, que ses jambes sont longues et sa jupe très courte, elle m’offre au passage une vue splendide sur ses cuisses croisées, fuselées comme ses mollets. J’en suis tout émoustillé et perturbé dans ma réflexion. Je termine tout de même mon brouillon de courrier urgent et je file le donner à taper à ma secrétaire avant qu’elle et le courrier ne partent. Quand je reviens, la grande greluche est debout, penchée sur mon bureau en train d’installer ses œuvres sur mon sous-main. Bon sang, ce cul dans cette position ! Large, rond, pommé, les fesses bien séparées par une vallée profonde, la robe serrée remontée jusqu’au raz des fesses, les jambes ainsi presque totalement exposées. Superbe vraiment, dommage qu’elle soit si gourdasse. Je m’assois. Elle reste debout pour me montrer ses dossiers. D’abord, unpress-book ...
    ... reconstitué, plutôt pas mal présenté dans des pochettes transparentes reliées dans une jaquette extensible, ce qui permet de l’enrichir au fur et à mesure. Elle a mené un vrai travail de recherche, fouillé dans nos archives, aux archives départementales et dans tous les services de presse locaux.
    
    Elle reste à m’observer, les paumes posées à 180° sur le bureau, épaules haussées soutenant son buste suspendu. Le col cheminée de sa robe largement échancrée laisse deviner une belle naissance de poitrine. En feuilletant son classeur, les souvenirs me reviennent un par un, du moins pour la partie qui me concerne, car elle est remontée bien avant mon arrivée. Je ne peux que la féliciter et j’avoue être le premier étonné. Elle rosit un peu, ricane comme à son habitude et me présente la suite. La suite, c’est un plan de communication. Elle n’a pas qu’un cul et des guibolles, mais aussi une sacrée poitrine apparemment et, selon toute vraisemblance, libre sous la robe. Car mes félicitations ont dû lui donner un frisson de plaisir, et deux pointes se manifestent en repoussant le tissu. Ça y est, cette fois je bande…
    
    Mais pas pour longtemps parce que son projet est rudement bien ficelé. Elle m’assène des vérités qui font mouche pratiquement à chaque fois. D’abord l’analyse de l’existant. On fait la même chose depuis vingt ans, et en vingt ans le monde a changé : radio, télé, internet, portables, messageries, réseaux sociaux, bref on est nuls ! Même le graphisme utilisé est désuet. À la ...
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