Gourdasse
Datte: 20/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... longueur de ses cannes, plonge dans l’espace exigu réservé aux jambes, sous le bureau. Elle me tire vers elle et défait ma braguette, entamant sans hésiter une turlute de première classe. Ça, c’est vraiment la première fois que ça m’arrive ! Je reconnais que l’on entre dans le domaine des fantasmes de tout chef de service, se faire sucer ainsi par une petite secrétaire en étant bien installé à son bureau de chef, mais entre fantasme et réalité… il y a un monde. Pas avec elle, elle le fait. Elle le fait même très bien, avec un art consommé de la pipe, à croire qu’elle est née à Saint-Claude ! Mon sexe prend de l’ampleur dans sa bouche, mon mal au crâne disparaît, je n’entends plus que ses petits grognements satisfaits, jusqu’à la sonnerie du téléphone.
— Allô ! (À cette heure et sur ma ligne directe, ce ne peut être qu’un chef…). Oui Monsieur le Directeur Régional… Très bien, oui…
—Dites-moi Jérôme, expliquez-moi brièvement ce que vous allez nous présenter demain…
— Ce n’est pas moi qui vais présenter ce projet, mais bien son auteur, une jeune femme surprenante à bien des égards, dis-je en me reculant légèrement et en cherchant le regard de ma suceuse.
—,Mais il s’agit de quoi précisément ?
— De nos faiblesses et de nos forces en matière de communication, et de la manière de l’améliorer à moindre coût, voire même en faisant des économies.
—Mouais, je n’y crois qu’à moitié… Encore un de ces cabinets hors de prix qui promet monts et merveilles, mais qui vous pompe ...
... toutes vos ressources…
— (Je souris à cette image… fort appropriée) Pas de cabinet dans l’histoire, juste une stagiaire talentueuse, et je suis le premier surpris du travail qu’elle réalise. C’est vraiment… un boulot de pro !
—Bon, nous verrons cela, demain dix heures…
— Entendu.
J’ai le temps de raccrocher avant qu’elle ne remonte de la base de mon sexe, complètement englouti, à son extrémité en le griffant légèrement avec ses quenottes. J’en rugis de plaisir douloureux. J’allais lui parler du pays en m’occupant de son arrière-train, quand on frappe de nouveau à ma porte. Panique, j’essaie en vain de me sortir de là, de la sortir de là, elle s’accroche aux accoudoirs et me rapproche du bureau. Garce !
— Euh… oui ?
— Bonsoir Monsieur Rezzin.
— Oh bonsoir Madame Labrosse (notre femme de ménage). Désolé, mais j’ai encore un peu de travail ce soir…
— Ça, c’est pas grave, dit-elle en se dandinant lourdement sur quelques pas. Je voulais vous prévenir : je dois être hospitalisée pour mes pauv’ jambes. Je peux plus tenir. Je serai pas là trois semaines, il a dit le chirurgien. Mais vous inquiétez pas, ma fille me remplacera pendant ce temps-là.
— Ah ! Alors c’est bien, mais c’est pas aussi simple. D’abord, faites-vous soigner et bien soigner, c’est le plus important. Pour votre fille, merci d’avoir trouvé une solution de remplacement… Humpf (l’autre m’aspire fort et me malaxe les testicules). Mais il faudra qu’elle passe au service comptable pour qu’on lui fasse un contrat ...