Gourdasse
Datte: 20/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... Une fois dans la voiture, toujours troussée jusqu’à la dentelle blanche de sa culotte, elle demande avec le plus grand naturel :
— On va chez vous ou chez moi ?
— Comment ça ?
— Ben, quand votre patron vous invite à dîner, c’est qu’il a envie de vous sauter !
— Ah oui ? Ça a le mérite d’être direct…
— À quoi bon perdre du temps ? Je vois bien que vous en avez envie. Alors, comme j’en ai envie aussi…
— Bon, ben… Allons chez vous, je découvrirai votre univers.
Elle me guide. Petit immeuble dans un quartier tranquille. Troisième étage sans ascenseur. Appartement coquet d’une cinquantaine de mètres carrés. Une grande pièce à vivre avec cuisine américaine, dégagement, deux chambres dont l’une sert à tout (bureau, repassage, couture, débarras), toilettes et salle d’eau à chaque bout du couloir. C’est sobre et propret, avec des murs de toile de verre blanche, un léger désordre de vie courante. C’est aussi un peu impersonnel, car sans trace de présence masculine, mais sans touche franchement féminine : pas de plantes vertes, par exemple.
— Je les fais toutes crever, m’avoue-t-elle.
Elle ferme les volets, cachant les toits, les réverbères et les bâtiments hauts de la ville, me propose un café puis s’éclipse vers les toilettes, du moins je le suppose. Un instant plus tard, elle revient dans le plus simple appareil, juste vêtue de ses talons hauts avec lesquels je pense qu’elle est plus grande que moi. Oh le bel animal ! Une femelle dans toute sa splendeur, toute en ...
... courbes harmonieuses et douces, blanche de peau, avec ce léger enveloppement qui dissimule toutes les duretés des muscles sans pour autant être grasse. Magnifique poitrine tombant à peine, aux pointes bien érigées, fessier superbement rebondi, membres longilignes sans être maigres. Elle ne s’embarrasse pas de préliminaires, vient droit sur moi et me roule une pelle longue et profonde. Je palpe, je caresse, je tripote, je presse, je pelote. C’est parfait quand elle a la bouche pleine. Puis elle s’écarte et me déshabille, je l’aide, et elle se remplit la bouche de nouveau avec mon sexe déjà dressé. Elle ne sait pas faire que des dossiers de presse. La garce me met, en trois coups de langue et deux aspirations, dans un état pas possible.
— Je suis rassurée, me confie-t-elle.
— Pourquoi ?
— Parce que « moi, fessier comme femmes noires. Besoin de grosse queue » !
Pour une fois je ris avec elle, avant qu’elle ne m’entraîne dans sa chambre. Là, je lui rends sa politesse en fouillant sa chatte à grands coups de langue. Elle aime ça et son corps se couvre d’une buée caractéristique.
— Prends-moi, supplie-t-elle, fait de moi tout ce que tu veux, j’adore me laisser faire…
Je fais donc, libre de toute contrainte, mais avec une bonne coopération. Un régal pour les sens que ce grand corps magnifique qui s’offre sans réserve et répond aux sollicitations du plaisir de toute sa puissance. À son second orgasme, je ne peux plus me retenir et je remplis son gousset à longs jets de ...