1. Le souper : hors d’œuvres et (d)ébats


    Datte: 01/01/2024, Catégories: ff, fplusag, campagne, fête, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, uro, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... toujours nue, devant la porte de la salle de bain.
    
    Colette était longuement restée sous la douche, s’abandonnant au ruissellement d’une eau brûlante qui lavait les traces de toutes les palpations subies et des attouchements intimes qu’elle avait acceptés. Une faible tentative de remettre de l’ordre dans ses sentiments avait échoué. Elle avait préféré se plonger dans un vide d’idée bienfaisant.
    
    La jeune novice l’avait attendue patiemment, sans toquer à la porte ni la presser d’une façon ou d’une autre. À sa sortie, elle lui remit sans mot dire une robe de lin fin dont la blancheur immaculée la fit sourire intérieurement : sa virginité n’était plus qu’un très lointain souvenir… Mais avant qu’elle n’enfile le vêtement, Aloïse l’arrêta d’une voix neutre.
    
    — Souhaitez-vous que je vous masturbe d’abord, Madame ?
    
    La question interloqua Colette, tant par sa forme désuète que par son incongruité. Un instant, elle hésita, la novice était fraîche et jolie, la tentation était grande. La lassitude de son propre corps l’était plus encore. Elle chercha un refus qui ne fut pas vexant.
    
    — Merci, heu… Aloïse, c’est gentil, mais je ne veux pas nous mettre en retard.
    — Je suis à votre disposition, Madame. Ce sera comme vous le voudrez.
    
    La tentation revint. C’était très agréable de s’entendre donner du « Madame » après tant d’humiliations. La vie prenait un autre sens. Elle tenta un geste affectueux, l’autre se déroba. Elle persista dans sa décision.
    
    — Eh bien, je… je vous ...
    ... suis !
    
    Elle avait failli la tutoyer, cette fille lui semblait si jeune…
    
    — Passez votre robe, s’il vous plaît, Madame.
    — Oh pardon !
    
    La décence retrouvée, au moins pour sa part, elle se laissa gentiment guider par Aloïse vers une nouvelle partie de cette spacieuse demeure où son avenir se jouait. Elles traversèrent un vaste hall qui distribuait plusieurs portes et un escalier monumental. Une large porte-fenêtre l’ouvrait vers l’extérieur. Le temps à leurs pieds d’apprécier la froideur des marbres du dallage, elles empruntèrent un autre long couloir.
    
    Colette admirait la fermeté des fesses qui dansaient devant elle. Le cul rond et musclé, les mollets et les cuisses fuselées, la taille finement dessinée, le dos planté droit sur des hanches harmonieuses et la nuque mince qui le surmontait, composaient une silhouette dont la gracile apparence dissimulait les robustes aptitudes physiques dont elle avait eu la preuve. Seules, peut-être, ici ou là, mais à bien regarder uniformément réparties, de fines zébrures d’une carnation à peine visible dénotaient sur la peau claire du corps.
    
    Aloïse s’arrêta enfin devant une haute porte aux vitres miroitantes. Elle entrouvrit un battant et s’écarta en esquissant une légère révérence sans trace d’ironie.
    
    — Après vous, je vous prie, Madame.
    
    Le seuil franchi, une large pièce brillamment éclairée par le soleil couchant se présenta, contrastant brusquement avec l’ombre du couloir. Colette, les yeux plissés sous la lumière soudaine, ...
«12...456...14»