1. Le souper : hors d’œuvres et (d)ébats


    Datte: 01/01/2024, Catégories: ff, fplusag, campagne, fête, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, uro, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... convivialité de ce déjeuner.
    
    — Merci pour cet agréable repas, Colette. Le restaurateur est vraiment sympathique. Vous devez le connaître depuis longtemps.
    — Quelques années, depuis que je me suis fixée dans ce coin.
    — Mais vous parliez ensemble comme deux vieux amis. Les gens de la région sont en général plutôt distants avec les nouveaux arrivants.
    — Ah, Chantal, si vous saviez la diversité de classes sociales que l’on côtoie dans le BDSM ! Et les relations que l’on noue sont étroites par définition, vous le devinez. Ça aide pour créer rapidement un climat de confiance, quel que soit le milieu.
    
    Pour mieux me convaincre, elle me cite des exemples de métiers allant de l’administration fiscale au transport routier, en passant par l’enseignement ou le secrétariat, sans distinction d’âge, de sexe, de salaire, ni de religion. De fait, elle a croisé dans la clientèle de Madame Ève, et dans la sienne ensuite, l’éventail des composantes de la société. Mon étonnement de ce monde que je découvre la fait rire.
    
    — Je vous le répète, Chantal, tous les humains sont faits de la même pâte et des mêmes pulsions. Quelle importance que les différences sociales quand on se libère des conventions ? Et je vous précise que les colliers ou les bijoux sont plus que déconseillés dans le genre de séances que nous pratiquons. Ainsi nue, rien ne distingue la bourgeoise de la caissière. C’est valable aussi pour le magistrat et l’ouvrier !
    
    À bien y penser, la même indifférenciation existe ...
    ... dans le naturisme que j’ai quelques fois fréquenté. Cette réflexion me rassérène et j’accueille sans trop de rejet la suggestion que me susurre Colette.
    
    — Pourquoi ne pas essayer, un jour ? Je vous invite à une de mes réunions privées et vous choisirez entre regarder, participer, ou partir. Personne ne vous forcera. Contrairement aux croyances courantes, il n’y a pas plus respectueux d’autrui que dans le monde réel du SM.
    
    Du coup, elle titille ma curiosité et instille la tentation. Elle marque un point. Un de plus ! J’ai déjà apprécié la liberté d’être nue sous sa robe, délivrée de la contrainte du soutien-gorge et sans avoir froid aux fesses comme je le craignais. Je lui fais part de cette découverte, autant pour l’en remercier que pour différer ma réponse.
    
    — Qu’un bout de coton ou de nylon puisse tenir chaud, sourit-elle sans être dupe, le pensiez-vous vraiment ? Être chatte à l’air a beaucoup d’avantages, on s’habitue vite à ne plus mettre une culotte. Mais j’ai quand même un petit regret du temps où mes amies en portaient.
    — Ah bon, feins-je de m’intéresser, vous étiez si convaincante que j’étais prête à me convertir ?
    — Les odeurs, Chantal, les odeurs ! Je regrette la culotte pour ses parfums érotiques.
    
    Surprise ! Je n’ai encore jamais envisagé la question sous cet angle… Je crois d’abord à une plaisanterie, puis il me revient en mémoire un reportage assez leste où un collectionneur quelque peu original lançait un appel aux téléspectatrices. Il leur proposait ...
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