Clinique Saint Roch 1
Datte: 29/12/2023,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
médical,
Collègues / Travail
Masturbation
pénétratio,
poésie,
occasion,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... de tajine avant minuit, je te viole !
— Espèce de canard boiteux, essaie seulement d’approcher !
— Ma petite Latifa adorée, viens dans ma chambre me montrer la lune.
— Dehors, vicieux personnage, porc immonde.
Bref, comme d’habitude avec elle, nous nous balançons des vacheries avec un grand et franc sourire.
Barbara n’ose pas intervenir, mais son visage s’empourpre par moments. Nous discutons ainsi de tout et de rien, j’arrive quand même à glisser mes propres consignes pour nos hospitalisés, il faut bien faire semblant de travailler. Après avoir refait le monde au moins deux ou trois fois, je propose à Barbara de venir voir au bureau une radio extraordinaire, un lavement baryté recto colique en double contraste, avec une très belle image de néo. C’est une patiente qui doit rentrer la semaine prochaine, programmée pour une intervention palliative, car vu le problème on ne peut pas faire grand-chose d’autre. Elle me suit donc, méfiante sûrement, mais ne pouvant faire autrement, on ne refuse pas un enseignement particulier.
Arrivé au bureau, je sors les clichés, vraiment splendides, et lui demande ce qu’elle voit. Elle n’ose répondre, car, à l’évidence, l’image ressemble à une grosse queue enfoncée dans l’anus de la dame. Impressionnant. J’insiste un peu. Le trouble s’installe. Je m’approche et lui chuchote au creux de l’oreille :
— Ne serait-ce pas une grosse queue ?
Silence rosissant. Je pose ma main sur son épaule. Tremblements. J’approche mes lèvres de sa ...
... bouche, les pose sur ses lèvres fermées. Elle se détourne légèrement et sa tête vient se placer au creux de mon épaule. Adorable timidité. Je sens ses seins contre ma poitrine et sa bouche sur mon épaule. Elle a gardé cependant le bassin à distance du mien. Gymnastique délicate. Je me penche de nouveau sur ses lèvres, et cette fois elle les écarte légèrement. J’en profite pour glisser doucement ma langue, et, magie, elle ne se défend plus et répond tendrement à mon baiser. Je sens une larme couler sur ma joue. Larme de joie, de honte, de peur ? Je ne lui demande pas. Ma main descend lentement le long de son dos jusqu’à ses reins, et là enfin elle se colle contre moi. Son ventre hésite quand il sent le gros objet contre lequel il se trouve, puis laisse ma cuisse se glisser entre les siennes. Nous ne formons plus qu’un seul être en apnée totale.
Je m’écarte progressivement d’elle. Elle est très belle. Une larme coule encore de ses yeux gonflés. Elle est châtain clair, avec les yeux de même couleur, mais tristes. Un visage rond avec des formes rebondies que l’on devine sous sa blouse.
— Tu pleures, tu ne veux pas…
— Oh si, répond-elle dans un souffle,
Je lui prends les mains, les effleure des lèvres.
— Alors, viens, allons dans ma chambre.
— Oh non…
Son visage se décompose.
— Il faut que je rejoigne Latifa, je dois travailler.
Je ne peux décemment pas lui dire que Latifa s’en fout, qu’elle a l’habitude.
— Tu ne peux pas me laisser dans cet état.
Elle ...