1. Clinique Saint Roch 1


    Datte: 29/12/2023, Catégories: h, fh, fplusag, médical, Collègues / Travail Masturbation pénétratio, poésie, occasion, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... positions, passant sous elle d’abord, pour qu’elle puisse s’exprimer plus facilement. Là, c’est un peu la panique, mais elle finit par coordonner assez bien les mouvements de son bassin. J’enchaîne donc sur le bateau ivre pour lui donner le rythme à prendre. Elle est aux anges, ses traits sont détendus et c’est au moment où je ralentis pour changer de position qu’elle explose. Je suis trempé, mais pas encore satisfait. Je la caresse, arrêtant mes mouvements quelques instants. Puis je reprends la gymnastique en la retournant en levrette. Je pilonne déjà plus violemment que tout à l’heure. Elle pousse un petit cri étouffé à chaque coup de boutoir. Je sens mon plaisir monter rapidement, ma queue gonfle encore plus et nous jouissons tous deux en même temps.
    
    Je m’effondre sur le lit. Nous sommes en sueur, essoufflés, dégoulinants de sperme. Nous reprenons nos esprits en souriant. Il me semble bien qu’elle a joui plusieurs fois.
    
    Elle n’est plus très présentable pour finir la nuit avec Latifa ! Je lui prête mes affaires de toilette pour qu’elle se lave un peu, avant que je n’en fasse de même, et nous tirons un maximum sur la blouse pour la défroisser. Heureusement, elle n’est pas tachée. Au moment de partir, elle se jette à mon cou et me gratifie d’un baiser passionné, mais beaucoup plus chaste que tout à l’heure.
    
    La petite fille timide et complexée a disparu, je vois s’éloigner une femme souriante et pleine d’assurance.
    
    *
    
    * *
    
    Mercredi : je ne sais pas pourquoi, ...
    ... mais j’ai raté la visite ce matin. Il faut dire que Latifa m’a réveillé vers 3 h ce matin pour l’estomac du 3. Henriette a l’air furieuse, mais la surgé est souriante. Ça a dû jaser ce matin. Pas grave, ça les occupe.
    
    Matinée délicate. L’un des opérés de Hugo(l’estomac) ne va pas très bien, il a une tension un peu basse, souffre beaucoup. Je passe donc pas mal de temps entre le réglage de ses perf’, les coups de téléphone avec Hugo qui consulte ce matin à l’hôpital et les quelques renseignements que je peux distiller à la famille, très inquiète bien sûr. Je passe rapidement voir les deux autres opérés d’hier, qui vont bien. Pour le reste, je verrai cet après-midi.
    
    Je déjeune en même temps que la surgé aujourd’hui. J’espère qu’elle ne va pas me dire que je sens le foutre. Elle en est bien capable. Non, pas tout à fait. Mais, après avoir parlé de choses et d’autres, elle me demande mon avis sur les équipes de nuit. Quand même, ça a dû ronfler un peu ce matin. Nous avons pourtant été très discrets. Il doit y avoir quelques mégères insomniaques dans les lits en ce moment.
    
    Je lui explique mon mode de fonctionnement : passage à l’office systématique vers 22 h, salutations distinguées, deux à trois questions anodines pour vérifier si le travail est fait, distribution de consignes ciblées, se terminant toujours par le fameux « … et surtout, n’hésitez pas à me réveiller au moindre doute… ».
    
    — Ce que j’espère lorsque les rondeurs de l’équipe de nuit sont avenantes.
    — « Oh ! ...
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