Clinique Saint Roch 1
Datte: 29/12/2023,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
médical,
Collègues / Travail
Masturbation
pénétratio,
poésie,
occasion,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... bureau, je me dirige vers ma chambre. Elle offre une petite résistance, mais me serre la main bien fort et finit par me suivre. Nous glissons sur le parquet sans bruit pour ne pas alimenter les rumeurs. Il y en a déjà assez. Les couloirs défilent et nous arrivons enfin dans mon antre. Elle est un peu soufflée par la déco’ fantastique. Les images du Necronomicon de Giger sont placardées sur les murs dans une espèce de fouillis apparent. Drôle d’ambiance, peu propice au romantisme. Je la laisse respirer un peu, puis l’entraîne vers le lit, où nous nous asseyons tous deux. Il n’y a, de toute façon, pas d’autre endroit pour se poser. Je passe mon bras autour de ses épaules et l’embrasse de nouveau. Elle fond cette fois complètement. Je commence à déboutonner sa blouse tout en écartant progressivement les pans de chaque côté. Après avoir caressé ses seins, ronds et fermes, je sors un globe du soutien-gorge et lèche téton et aréole. Elle n’essaie plus de m’embrasser, ferme les yeux, renverse la tête. Sa respiration s’accélère. Elle a chaud. Ma main poursuit sur le flanc. Sa peau est fine, douce sous la paume. Son flanc tremble sous la caresse. La blouse est maintenant largement ouverte, on ne voit plus sur elle que les dentelles de ses dessous. Ses formes somptueuses éclatent en pleine lumière.
Elle a soigneusement rasé sa motte, transformée en un fin triangle semblant partir du clitoris. C’est ainsi qu’elle le souhaitait, probablement ce pour quoi elle a refusé la semaine ...
... dernière mes avances. Elle voulait être « présentable ». C’est bien plus que cela. Une rose sans ses piquants. Ma bouche se penche sur son pubis. Mes doigts caressent ses lèvres au travers du tissu, l’écartent et plongent dans son intimité. Après quelques secondes de crispation, ses cuisses s’entrouvrent avec circonspection. Elle est déjà trempée. Ouf, elle n’est pas vierge, mais le type qui s’en est chargé ne lui a pas fait grand mal. Ma langue fouille ses lèvres délicatement, elle gémit. Je ne sais pas très bien comment j’y suis arrivé, mais mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes ont déjà disparu. Je prends sa main et la guide vers mon entre-jambes. Elle a un geste de recul. J’écarte alors légèrement le tissu bordé de dentelle et approche mon gland de sa fente. Après m’être frotté quelques instants sur ses grandes lèvres, j’investis délicatement l’orifice et m’enfonce dans sa grotte. Pas de doute, c’est bien serré, et malgré son intense lubrification j’ai un peu de mal à progresser. Enfin, j’emplis complètement la cavité. Elle a le souffle coupé et ne bouge plus du tout. Je commence un lent mouvement de va-et-vient. Son bassin est toujours bien raide. J’accélère un peu tout en lui caressant les reins. Nous sommes en missionnaire et je n’ose lui proposer autre chose. Enfin, elle se détend un peu et commence à remuer les fesses, maladroitement d’abord, à contre rythme, puis, probablement pour ne pas paraître trop novice, plus violemment. J’essaie donc de varier les ...