Un 14 juillet bleu blanc sexe
Datte: 23/11/2023,
Catégories:
fh,
ff,
collection,
revede,
massage,
Oral
pénétratio,
historique,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... cherché à me sonder, ses lèvres tout près des miennes m’ont attiré et décision prise sans que je n’aie pu bouger, elle a entrepris d’enlever mes vêtements pour m’analyser, m‘ausculter. Elle a vérifié qu’aucune partie de mon corps n’avait été foulée, brisée, broyée par ces connards du Pouvoir qui ne voulait que casser du manifestant.
Elle est revenue avec le nécessaire d’infirmerie et a nettoyé mon visage et mon corps avec tendresse. Ses cheveux roux et court flamboyaient dans la lumière de la fin d’après-midi entrant par les fenêtres fermées et ses yeux verts parcouraient mon corps à la recherche de blessures, émettant de petites exclamations chaque fois qu’elle en découvrait.
Je voyais une sorte d’ange en train de me requinquer, Audrey avait toujours ce don. J’étais hypnotisé par son savoir-faire et son savoir-être, surtout, son être tout court, son corps agile, sa peau blanche constellée de grains à suivre du doigt, ses seins sans soutien-gorge, tenus dans sa camisole serrée sur son corps, et son short de détente, à élastique, qui serait si simple à retirer. Elle ne m’attendait pas, Audrey, elle se terrait comme plusieurs Parisiens lorsque les émeutes éclataient, mais serait toujours au front le jour tant attendu.
J’avais de fortes ecchymoses sur les bras, les cuisses, je sombrais dans le sommeil tandis qu’elle me manipulait, je me sentais bien et me suis retrouvé couché sur le ventre. Ses doigts ont sillonné puis arpenté mon cou, mes clavicules, mes épaules, ont ...
... suivi mes muscles, les décrispant.
Audrey, à califourchon sur mes fesses, décomplexe mon corps, lui rend une nouvelle vigueur. Ses mains me malaxent là où il faut, descend le long de mon échine puis retirent mon slip avant de continuer travail d’apaisement sur mes fesses, mes cuisses, mes mollets. Puis, je la sens se lever, elle me dit :
— Retourne-toi
J’ai une érection que je ne peux cacher, elle est nue aussi, à contre-jour des fenêtres et de la fumée extérieure et elle m’enjambe. Appuie ses mains sur mon torse, positionne ma queue puis se laisse glisser sur moi. Je grogne, surpris par sa chaleur interne, elle gémit, surprise par ma rigidité revenue. Je lui tiens les hanches, lui caresse le ventre, les seins, elle se cambre, ce qu’elle est belle, et tendre, et affectueuse, et agile, souple, active. Audrey crie, je me retiens, elle me regarde tout en sautillant sur mon corps, me touche la joue, se penche vers moi :
— Pourquoi n’es-tu pas revenu plus tôt ?
Je ne peux lui répondre, concentré à la faire jouir, elle ferme les yeux, je sens son corps souple se crisper, elle ouvre la bouche, elle râle, elle explose. Moi aussi, je suis fourbu, je la caresse, elle est si douche, si fraîche, je m’endors… Merci Audrey. Nous, camarades, avons toujours besoin d’amies comme toi.
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La Grande Nuit de Paris, enfin ! Nous l’espérons depuis ce 24 avril du deuxième tour, depuis tous les mois de mai, depuis ce 18 juin de l’appel, depuis ce 20 juin des Tuileries, depuis ce 13 ...