Cousines - Histoires de Sexe

Cousines

... bien formée. La complicité que j’entretenais avec Francine grandissait à chaque vacance et nous étions devenus presque inséparables, faisant à peu près tout ensemble. Nous discutions souvent dans ma chambre, qu’elle trouvait très agréable avec juste raison.

— Dis donc, Mimi a vachement grossi, tu trouves pas ?
— Pitain, (elle disait « pitain » et doit le dire encore), si tu veux la foutre en rogne, t’as qu’à lui dire ça.
— Mais Cathy aussi a changé. Elle a grandi, incroyable. Et elle a de vrais nichons, maintenant.
— Oui, c’est vrai. Elle va être une belle jeune fille, la plus belle de nous trois.
— Mais non, la plus belle c’est toi.
— T’es mignon. Tu trouves vraiment ? Dis-moi ce que j’ai de changé…
— Ben toi, t’es de plus en plus belle, de plus en plus « jeune fille ». Tes seins ont grossi, mais pas trop, ton petit cul aussi, mais tu as gardé ta taille fine, tes jolis bras, tes jolies jambes… Tout quoi. Et moi, tu me trouves changé ?
— Ah oui ! D’abord, tu es devenu un géant, plus costaud aussi, et ta voix qui est devenue grave comme un homme, et puis le poil qui pousse sous ton nez et sur ton menton…
— Et pas que là, plus bas aussi.
— Ah oui ? Ha-ha, c’est marrant, moi aussi.
— Fais voir !
— Oh ! Non, alors… Enfin, si, si tu veux, mais toi d’abord.
— OK, dis-je en posant d’un coup short et slip.
— Pitain ! La vache, oui. Et puis ton… zizi est devenu vachement gros. Je peux toucher ?
— Si tu veux, mais montre-moi d’abord…
— Tiens, voilà. Content ?
— ...

... Rhôôôh ! Ce que c’est beau une fille ! Tu me fais voir tes nichons ? S’te plaît…
— Tiens, contente-toi, regarde… C’est bien parce qu’avec toi je n’ai rien à cacher, on se connaît depuis tout petits. Oh, mais dis, ton truc est de plus en plus gros…
— Ben normal, ce que je vois est tellement beau. Je peux toucher tes nénés ?
— D’accord, mais moi je touche ton zizi. Hssssssss !
— Pardon, je te fais mal ?
— Non, au contraire. C’est vachement sensible, mais continue…
— Tes seins sont vachement doux, hum… comme de la soie. Et ta peau sent bon…
— Hé dis, y a tes boules qui montent et qui descendent, c’est normal ?
— Sûrement, j’en sais rien.
— Oh… tu sais que tu me fais du bien, beaucoup de bien, même ? J’ai vachement chaud… Rhoo-là, j’ai l’impression que je suis en train de faire pipi, ajouta-t-elle en écartant ses cuisses largement. Regarde, c’est tout mouillé…
— Oui, mais ça coule pas vraiment. Non, regarde, c’est pas de la pisse, c’est un peu collant.
— Je vais vite aller prendre une douche…

Au petit déjeuner, rien ne transparaissait de nos jeux érotiques encore bien innocents, tout semblait normal. Nous sommes allés à la plage, mon oncle apprenait la natation à Catherine, Mireille faisait fondre sa graisse au soleil et Francine et moi nous avons nagé jusqu’à un ponton flottant, un parquet de bois sur des bidons, amarré là pour pouvoir plonger à marée haute.

— Tu veux bien que je revienne te voir ce soir ?
— Bien sûr.
— Chouette, j’en ai vachement envie.

Elle ...