Cousines
Datte: 21/11/2023,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
forêt,
caresses,
pénétratio,
init,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... jeune, Catherine. Il paraît que ces beaux engins étaient pour l’île de Ré. Quand juillet est arrivé, nous étions tout excités de retrouver notre « résidence secondaire ». Oh là là ! Bien des choses avaient changé en notre absence. Une haie de thuyas avait été plantée pour bien nous séparer de l’ancien propriétaire. La façade était d’un blanc éclatant et des volets avaient été posés à toutes les fenêtres qui, jusque-là, n’en avaient pas. Ils étaient peints en bleu, normal pour l’endroit. À l’intérieur aussi, les transformations étaient visibles. Au rez-de-chaussée, un grand buffet-vaisselier trônait dans la salle ; maman s’extasia devant une salle d’eau tout aménagée. Elle caressa longuement la cabine de douche et le lavabo avec un sourire béat. Pour nous les mômes, ce fut le choc. Plus de « dortoir ». La porte s’ouvrait désormais sur un long couloir avec plein de portes : toilettes, salle d’eau avec douche, trois chambres à gauche et une quatrième au fond. En voyant les lits, j’ai cru reconnaître celui dans lequel j’avais dormi chez mon grand-père, trois lits de cent vingt et un lit de cent quarante pour la chambre du fond qui était plus grande de la largeur du couloir. Il y avait même dans chaque chambre une petite table et une chaise rococo qui devaient provenir du même endroit. En revanche, pas d’armoires, sûrement trop hautes, mais des placards en sous-pente dans les chambres et tout le long du couloir, côté mur borgne. La moquette avait aussi été changée. En fait, on ...
... nous expliqua que, pour pouvoir monter les cloisons, il avait fallu renforcer le plancher, et donc tout changer. Mireille voulait la grande chambre évidemment, nous, on s’en foutait un peu. Au final, c’est mon oncle qui trancha :
— Non, la grande chambre est pour Jérôme. Pas de jalousie entre les filles, toutes trois la même chambre.
Et il ajouta en posant une main sur l’épaule de mon père :
— On te doit bien ça. Encore merci, c’est superbe…
Il repartit bosser jusqu’au quinze août. Finis les chantiers des deux beaux-frères, désormais des artisans œuvraient en notre absence. Bon, il y eut quand même une occasion de bricoler pour fermer le dessous de l’escalier afin d’en faire une remise pour les vélos, les cannes à pêche et les jeux de plage. Privilège de mes quatorze ans, c’est moi qui aidais mon père et, une fois peinte en blanc en cinq couches, notre remise avait fière allure et s’intégrait très bien à la maison sans la dénaturer. Les vélos nous apportèrent un grand souffle de liberté. On était à la plage si vite, que nous avons bientôt eu envie d’aller en visiter d’autres. Notre plus grande sortie, avec pique-nique et tout, fut d’aller jusqu’au phare des Baleines. Mireille avait beau être l’aînée, il n’y avait que Catherine pour suivre mon rythme. Il est vrai que son aînée avait bien grossi, et pas seulement des seins et des fesses comme Francine, toujours la plus jolie. Catherine avait beaucoup grandi, d’au moins dix centimètres et sa poitrine était maintenant ...