1. Cousines


    Datte: 21/11/2023, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, plage, forêt, caresses, pénétratio, init, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... trois filles, mes cousines. Aussi, en prenant les uns leurs vacances du quatorze juillet au quinze août et les autres du quinze août au quinze septembre, nous les mômes pouvions y passer toutes les vacances. Deux mois au bord de la mer, de quoi se refaire une santé, c’est du moins ce que nos parents espéraient. Pour moi, enfant unique qui avait « cassé le moule » en sortant, c’était réjouissant d’avoir trois copines de jeu. Parfois, ça l’était moins, je l’avoue, et les crêpages de chignons n’étaient pas rares. Bien sûr, pour transporter tout ce petit monde avec armes et bagages, il fallait les deux voitures, une Simca P60 et une Dauphine, au début comme à la fin. C’était un peu pénible pour nos pères, mais c’était aussi l’occasion pour les couples de s’y retrouver ensemble quelques jours.
    
    Tant que nous avons été petits, nous dormions au rez-de-chaussée, dans la chambre laissée libre par le couple au boulot. Mon père ou mon oncle mettaient le grand lit debout contre un mur et les mamans alignaient les quatre petits lits de toile côte à côte. Je n’ai guère de souvenirs de cette époque, ils me l’ont racontée. Puis vint le moment, assez rapidement, où le lit de toile ne convenait plus qu’à la petite dernière, les trois autres avaient besoin de couchettes plus grandes. On passa aux lits pliants, cadres métalliques avec une toile tendue par des brides de caoutchouc. Unique endroit pour les installer, le grenier, c’est ainsi qu’on l’appela « le dortoir ». Il y faisait une ...
    ... chaleur épouvantable, directement sous les tuiles, malgré le courant d’air entre la porte laissée ouverte et la fenêtre donnant sur le chemin. Quand on ajoute à cela la tombée tardive de la nuit en été, rien n’aidait à notre endormissement. C’était le cirque tous les soirs, et j’en ai certains souvenirs. D’abord, il y avait le clan des trois grands et la « petite » nous servait de souffre-douleur. Mireille était l’aînée de presque deux ans, Francine et moi étions du même âge et Catherine subissait nos persécutions, ayant encore deux ans de moins. Du haut de ses huit ans, Mireille faisait la fière, mais nous étions deux de six ans à lui tenir tête. Elle crut bon de se ranger à nos côtés. La pauvre Catherine, à quatre ans, subissait nos sarcasmes : « t’es trop petite… t’es trop bête… tu sais même pas lire… » et son seul refuge était de brailler à pleins poumons jusqu’à ce qu’un adulte monte à sa rescousse.
    
    Un des défauts du plancher du grenier était que ça n’était pas un parquet, avec des lames rainurées et emboîtées, mais simplement des planches juxtaposées. Pendant des années, les poussières et déchets de paille et de foin s’étaient accumulés entre ces planches, formant presque des joints que le plus soigneux des balayages ne pouvait éliminer. Aussi en lâchant quatre loustics excités sur ce plancher, en dessous c’était une pluie permanente de poussières diverses. Les parents envisagèrent plusieurs solutions, poser de la moquette au grenier, coller du papier entre les poutres en ...
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