Cousines
Datte: 21/11/2023,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
forêt,
caresses,
pénétratio,
init,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... faut être prudent… Ha-ha !
— Ouah hou ! Curieux, mais je crois percevoir un brin de préméditation.
— Moi ? Noooonnn… Petite robe blanche à fleurs rouges, ceinture rouge, escarpins rouges et sac rouge, il était normal d’accorder les dessous, non ?
— Certainement… et quels dessous ! Ne me dis pas que tu enseignes le sport en string et soutif transparent ? Oh, ça me rappelle quelque chose… (et je lui narre l’histoire de la candidate au foulard).
— Ha-ha-ha ! Mais tu sais que j’en suis capable, une fois de temps en temps. Juste pour que tu te poses la question quand tu me verras en survêt’.
— Tu es définitivement une odieuse coquine ! Non, ne t’assieds pas, je t’en prie, marche, tourne, danse…
— À ton service. Non, je ne vais pas dire que j’ai prémédité. Disons que je me suis préparée à toute éventualité. Car tu pouvais être remarié, ou du moins être en couple. Ou alors tu aurais pu avoir définitivement tourné la page, être devenu homo, que sais-je…
— Alors ? Qu’aurais-tu fait ?
— Eh bien, j’aurais au moins gagné un patron sympa et un boulot qui me plaît.
— Sinon, au cas où je sois… disons, disponible, le grand jeu était prêt.
— Tu regrettes ? Tu sais parfois, pour ranimer une flamme, il faut souffler fort.
— Je vois, et je ne regrette pas, pas le moins du monde. Quant à la flamme, c’est comme si les braises dataient de ce matin.
— C’est marrant. Tu me demandes exactement la même chose qu’il y a dix ans et moi je le fais, malgré mes complexes, c’est tout pareil, ...
... rien n’a changé.
— Oui, je suis toujours sous le charme. Viens, viens t’asseoir sur mes genoux que je touche cette peau fabuleuse et ces formes incroyables.
— Hahaha ! Mange ta glace, elle est en train de fondre.
Nous mêlons nos langues imprégnées de café et de vanille. Je lui pose ses dessous pour mieux palper son corps à pleine main, sans obstacle, je lui mets de la glace sur la pointe des seins pour les durcir et les lécher. Puis nous nous réfugions dans la chambre pour la déguster partout à pleine bouche et à pleine langue. Je mets plus d’une heure avant d’introduire ma queue apoplectique dans sa chatte brûlante et détrempée, alors qu’elle m’en suppliait depuis une demi-heure et deux orgasmes. Ce qui a changé, c’est sa force. Faire l’amour avec elle relève d’un corps à corps dévastateur. Et quand elle sent que mon plaisir monte, elle me prend entre ses cuisses et ses bras comme dans un puissant étau, ses talons poussant mes fesses à m’enfoncer loin en elle pour inonder ses entrailles de mon sperme brûlant. Nous rugissons de plaisir ensemble. Je n’ai jamais tenu un corps de femme tantôt si doux, tantôt si dur. Relâchée, elle est d’une douceur infinie, presque impalpable. Tendue, mon corps rebondit sur le sien tandis que ses fesses broient ma queue qui tente de les labourer. Parfois tendre, parfois violente, elle n’en demeure pas moins insatiable. En cette fin d’août, les nuits sont encore assez courtes et le ciel pâlit quand l’épuisement nous contraint à abandonner, ...