Cousines
Datte: 21/11/2023,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
forêt,
caresses,
pénétratio,
init,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... provisoirement, cette faim dévorante qui nous soude l’un à l’autre. Elle gît près de moi, brillante de sueur, les cheveux collés, le souffle court.
— Jérôme, ce que c’est bon le Romanée-Conti ! Et quand il a pris dix ans de plus, il est encore meilleur ! Je souris en pensant à cette histoire où la dame demande après l’amour : « mais vous étiez combien ? ». C’est exactement ma sensation. Entre tes mains, ta bouche, ton sexe, j’ai l’impression d’avoir couché avec une équipe de hand !
— Ha-ha ! J’adore tes ballons et j’adore te marquer des buts ! Je vais prendre une douche, je suis rincé.
— Je t’accompagne, la douche est grande. Et après je nous ferai des cafés.
Oui, la douche est grande et maintenant on passe au gel, encore plus glissant, lubrifiant idéal pour de nouvelles caresses, et ça se termine comme il se doit, ses mains sur le mur et ma queue entre ses fesses musclées. Je ne peux même pas éjaculer, réservoirs vides… Après le café, nous regardons un instant le soleil se lever et puis nous nous endormons, rassasiés, dans les bras l’un de l’autre.
— Hou-hou ! Debout jeune homme, il est midi et demi. Il faut que je rentre chez moi, que j’aille faire mes petites courses pour la semaine, mon ménage, tout ça…
— Qu’est-ce que tu me chantes ? Nous sommes samedi et demain c’est dimanche. Tu feras tes courses lundi.
— Attends, il faut bien que je passe chez moi pour me changer. Et puis chez moi, c’est à trente bornes…
— Pourquoi veux-tu te changer ?
— Je ne vais ...
... pas passer trois jours dans la même robe…
— Je suis d’accord, alors ne la mets pas. Tu la mettras lundi matin quand tu rentreras chez toi pour donner ton congé à ton employeur et à ton propriétaire.
— Quoi, quoi, quoi ? Tu ne vas pas un peu vite, là ?
— Tu n’as pas aimé la nuit qu’on vient de passer ?
— Si, bien sûr, évidemment. J’étais au-dessus de l’Everest. Mais je suis ta cousine.
— Et alors ? Tu es la femme de ma vie, la femme qu’il faut à cette maison. Cette fois, je ne te laisse plus repartir.
— Tu es fou ! Il est fou ! Mais tu te rends compte de ce qu’on va entendre ? La famille, les parents, les frangines…
— Je m’en moque, surtout qu’on n’est absolument pas obligé de le leur dire. Ni à eux ni aux autres. Au boulot, personne ne saura que tu es ma cousine ni qu’on vit ensemble. Quant à la famille… tu comptes inviter tes frangines ici ? Ou tes parents ?
— Bien… je… ça va si vite… là, tu me prends au dépourvu… je ne sais pas quoi dire…
— Tu as beaucoup de meubles, il faut un camion ?
— Non, oh non. Je n’ai rien de valeur, c’est tout du Louis Caisse qui ira très bien chez Emmaüs. Les seuls trucs auxquels je tiens, ce sont mes bouquins, mes plantes et mon matériel de sport ; un tapis roulant de marche et de course pour garder la forme quand il fait mauvais, des élastiques, des haltères… Au sous-sol, peut-être…
— Viens voir… cette chambre inoccupée, en enlevant les trois bricoles qui y traînent, ton tapis roulant face à la porte-fenêtre, ça n’irait pas ? Surtout ...