Cousines
Datte: 21/11/2023,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
forêt,
caresses,
pénétratio,
init,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... l’argent de poche. Au final, on ne va passer véritablement que quinze jours ensemble à Ré tous les huit, les impératifs de préparation de rentrée des uns et des autres démarrant dès le quinze août.
Séjour bref, on est loin des deux mois de notre enfance. Mais séjour ô combien mémorable. Car Mireille avait décidé de ne pas mourir idiote, et surtout de ne plus continuer à passer pour une cruche auprès de ses copines de prépa. C’est dans le petit bosquet du Bois-Plage qu’elle me grimpa dessus en me demandant, l’air grave :
— Jérôme, es-tu capable de te contrôler ?
— Qu’est-ce que tu entends par là ?
— Ne pas me cracher ton jus dans la foufoune.
— Je crois, oui… Je sens bien quand ça vient.
Alors elle souleva ses grosses fesses, redressa mon pénis déjà bandé et se laissa coulisser lentement dessus. Francine observait ça avec intérêt et applaudit quand sa sœur triomphante se rengorgea, le cul calé contre mon ventre.
— Même pas mal, déclara-t-elle, fière comme un paon !
La suite fut un peu plus chaotique par manque partagé d’expérience. Mais au final, lorsque ma queue prestement sortie de la levrette s’épancha sur ses fesses, tout le monde semblait content. Je ne sais pas jusqu’à quel point Mimi avait apprécié, parce qu’elle n’y revint pas du séjour, soumise, disait-elle à l’impérieuse nécessité de bosser. Elle laissa ainsi le champ libre à Francine à qui l’exemple de sa sœur avait donné de furieuses envies. Toujours très complices, nous décidâmes de procéder ...
... autrement et d’aller jusqu’à Saint-Martin pour acheter des capotes. La fleur de Francine fut ainsi cueillie dans des conditions bien différentes. D’abord, nous n’étions que tous les deux, ensuite l’attraction sensuelle qui nous liait depuis longtemps induisit des ébats très amoureux, débouchant sans surprise sur de violents accès de plaisir partagé. Quand les parents sonnèrent la fin de la récréation, ce fut un véritable déchirement pour Francine et moi. Je la vis pleurer de chagrin et de regret pour la première fois.
De retour au bercail, je fis les petites annonces. Mon premier investissement serait une dedeuche ! J’ai rencontré le banquier, je pouvais obtenir jusqu’à cinq mille francs de prêt en remboursant deux cent trente francs par mois pendant deux ans. Si toutefois mon père m’autorisait, car je ne serai majeur qu’à vingt et un ans. Mon père examina le dossier :
— Quoi ? Et tu vas donner plus de cinq cents francs à ces voleurs ? Certainement pas.
— Dommage, papa. J’en avais trouvé une en parfait état. Un agriculteur du coin qui veut acheter une GS. Pas un pète de rouille, toujours couchée au garage, même la capote est comme neuve. Et seulement quatre mille francs…
— On va la voir tous les deux.
— Je peux venir aussi ? demanda ma mère.
— Bien sûr, tu regarderas les détails.
Ils furent emballés. C’est vrai qu’elle était en parfait état cette 2CV 6 gris vert, intérieur de tissu vert… On eut beau soulever les tapis de sol en caoutchouc, pas de rouille et le couple ...