1. Cousines


    Datte: 21/11/2023, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, plage, forêt, caresses, pénétratio, init, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Aie un peu de reconnaissance. Il faut bien qu’il y trouve son compte aussi.
    
    Les voilà donc toutes les deux installées autour de moi, Francine guidant sa sœur pour caresser ma bite avec ses seins. Mireille fut surprise par le premier jet et s’en mit un peu partout, tandis que Francine léchait mon ventre jusqu’à la dernière goutte. Quand sa sœur s’enfuit prendre une douche, elle me confia :
    
    — Pitain, on a eu chaud ! T’imagines le scandale en famille ? Terminées, les vacances ensemble à l’île de Ré. Ça aurait été trop bête, tout de même. Mais avec elle, c’était pas gagné. Maintenant, elle ne peut plus rien dire, elle est aussi coupable que moi.
    — C’est incroyable, tu en fais ce que tu veux de ta frangine.
    — Hum, pas tant que ça. Elle a souvent une tête de cochon. Mais sur ces questions-là, c’est vrai qu’elle est tellement complexée, elle se trouve tellement grosse et moche, que j’ai réussi plus facilement que je n’aurais cru. Grâce à toi, aussi. On va bien voir, si elle y revient, c’est qu’elle aime ça…
    
    Elle y est revenue, ô combien. Beaucoup moins prudente que Francine, elle ne cessait de m’attirer dans les coins pour me rouler des pelles en me mettant la main au panier. Au point que j’ai dû la recadrer vigoureusement, c’est notre petit secret à tous les trois qu’elle mettait en danger. Et donc les vacances se terminèrent par des soirées top 50, et dès que Catherine regagnait sa chambre, ses deux frangines quittaient prestement leurs chemises de nuit, verrouillaient ...
    ... la porte et se disputaient mes caresses.
    
    Le retour au lycée et à la vie normale fut un choc. Passer de deux ou trois éjaculations par jour à plus rien du tout, si ce n’est une petite masturbation sans saveur de temps en temps, c’était un vrai motif de déprime et je me réfugiai dans le travail. À la grande surprise de mes parents, mes résultats scolaires furent les meilleurs depuis longtemps. Malgré tout, dans cette grande usine qui m’accueillait depuis la sixième, je pris soudain conscience que si j’y restais, je n’aurais jamais mon bac. Je ne sais pas qui s’en foutait le plus, des élèves ou des profs. Mais à l’évidence, que le fait d’apprendre un tant soit peu quelques leçons dans des matières clés et faire risette sans mettre le bordel dans les autres me propulse du ventre mou aux avant-postes, ce n’était pas sérieux. Une administration débordée, des élèves trop nombreux et trop disparates, entre les petits sixièmes de onze ans et les grands de terminale de dix-huit, ça ne pouvait pas fonctionner correctement. Un jour, je vis une annonce au tableau d’affichage : « Inscription au concours d’entrée à l’École Normale ». Ah ça, ça me plaisait bien. J’avais eu de bons maîtres, et le devenir à mon tour me tentait bien. J’ai pris un dossier, mes parents étaient à la fois étonnés et tourneboulés. Ça signifiait partir en internat pour quatre ans, quitter le cocon familial, ce qui ne me déplaisait pas non plus. Certes, il me fallait un trousseau, mais les études, la nourriture et ...
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