1. Cousines


    Datte: 21/11/2023, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, plage, forêt, caresses, pénétratio, init, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... l’hébergement étaient totalement gratuits, un vrai avantage pour une famille modeste. Mon père signa le dossier. Il ne me restait qu’à obtenir le concours d’entrée qui donnait automatiquement le brevet.
    
    Il y eut quelques week-ends et les fêtes de fin d’année pour réunir la famille, mais il était bien difficile de pouvoir s’isoler un moment hors des yeux des parents ou de Catherine avec l’une ou l’autre de ses sœurs. Qu’elles nous semblaient loin ces prochaines grandes vacances ! C’est à la faveur de cette réflexion dépitée que me vint une idée farfelue. Je dis un soir à mes parents que la maison de l’île de Ré était très agréable, mais qu’on en profitait bien peu, alors qu’on pourrait aussi y passer les petites vacances, et même la semaine des fêtes de fin d’année durant laquelle les parents ne travaillaient en général pas.
    
    — Vous imaginez Noël et 1er janvier à l’île de Ré ? Ce serait génial… Et pour février et Pâques, il suffirait que vous nous emmeniez le premier week-end et mon oncle viendrait nous ramener le dernier. Et pour vous, ça vous ferait un petit week-end sympa à la mer…
    
    Message bien reçu, mais, l’argument qui tue : il n’y a pas de chauffage dans cette maison. Et même à Ré, il fait frais en hiver, frais et humide, intenable sans chauffage. Et puis nous étions trop jeunes pour y rester quinze jours seuls. Dommage… Mais le ver était dans le fruit, il suffisait de lui laisser faire son œuvre. Je crois que les deux couples en ont parlé entre eux pour avoir ...
    ... saisi quelques bribes de conversations :
    
    — … vraiment Jérôme a raison, passer les fêtes dans l’île ce serait très agréable. Tu imagines, Noël prochain au bord de la mer ? Le rêve…
    — Oui, ça, c’est vrai…
    
    Pour mon anniversaire, j’ai eu un Teppaz avec quelques 45 tours, le pied ! Sauf les disques qui étaient un peu « pour tous les goûts », genre Aznavour que ma mère adorait, des valses viennoises qui plaisaient à mon père et pour moi Sheila, « l’heure de la sortie ». Moyen, moyen, cependant j’ai vu mes parents pousser la table pour valser, c’était la première fois que je les voyais danser. J’ai couru acheter deux ou trois disques avec mes petites économies, à mon goût, qui était alors très rock.
    
    Juillet, retour à Ré enfin, auréolé de mon succès. J’étais admis à l’entrée de Normale et, par la même occasion, le diplôme du brevet m’était délivré d’office, le concours étant considéré comme plus difficile. La maison était un peu envahie par les entreprises, car mon idée avait fait son chemin. Un jeune artisan astucieux nous installait le chauffage. Plus de ballon d’eau chaude, mais une petite chaudière à fioul grosse comme la machine à laver qu’il livra par la même occasion. Les mamans battaient des mains. Le garçon était astucieux parce qu’il réussit à installer ses tuyaux de façon presque invisible, en passant dans les placards de sous-pente. Tout était très discret, comme la chaudière. Le seul problème, c’était la cuve. Il nous dit qu’il fallait ici environ 1 500 litres ...
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