Cousines - Histoires de Sexe

Cousines

... sangloter. Je suis désolée si vous vous êtes sentis méprisés. Mais j’avoue que j’aimais bien faire l’importante. C’est pas toujours facile d’être l’aînée…

Je n’en revenais pas, c’était surréaliste. Francine prise en flagrant délit et c’était Mireille qui pleurait. Sacré caractère, ma cousine. J’avais cependant franchement débandé, muet, assis à la tête du lit. Maintenant, c’est Francine qui consolait sa sœur. Elles se sont serrées dans les bras l’une l’autre, et elle lui parlait tout doucement, très gentiment.

— Tu veux vraiment savoir ce qu’on se fait ? Si tu savais comme c’est bon, tu ne nous en voudrais pas. Je te jure, le mieux pour en juger, c’est d’essayer. Tu as envie que Jérôme te caresse, juste un peu pour voir ? Allez, pose tout ça, tu n’as rien à craindre, juste d’aimer ça, comme moi. Tu vas voir… c’est ça, déshabille-toi… Jérôme, tu veux bien caresser ma sœur ?

Allais-je répondre non, même si Francine, a priori, me suffisait amplement ? Et puis Mireille me semblait beaucoup moins jolie. Mais bon, c’était ça ou le tribunal parental. Alors… C’était vrai, Mimi était moins bien faite. Pourtant, il y avait des points de ressemblance. Leurs seins étaient très comparables, bien gros, bien fermes. Sauf que Mireille avait le tronc en « bonbonne », exactement comme sa mère, pratiquement cylindrique des épaules au bassin, ses seins semblaient tournés vers l’extérieur et très écartés, alors que ceux de sa sœur tiraient droit devant, bien parallèles. Ses membres ...

... étaient également plus empâtés, ainsi cuisses et ventre se rejoignaient en un « Y » dissimulant totalement sa foufoune et une partie de son pelage léger. Mais la peau était la même, très douce et agréable à caresser. L’expérience accumulée avec Francine me fut bien utile pour éviter toute maladresse, et très vite, très très vite, Mimi décolla pour une destination inconnue. Et Francine ponctuait mes caresses avec ses petites remarques, insistant sur le plaisir innocent de ces doux contacts.

— C’est bon, dis ma Mimi… Oh oui, c’est bon de se faire sucer les amygdales… Ouiiii… Tu sens ses doigts courir sur ta peau ? Hou ! Ça te fait mouiller, ça… Hein que tu aimes ça ? Oh, regarde comme tu le fais bander… Il aime te tripoter aussi, tu vois ?

Le joli trio ! Voilà que Francine me branlait pendant que je roulais des pelles à sa frangine. On aurait tout vu ! Et de lui expliquer l’instant d’après comment il fallait mettre la langue, pendant que moi je tétais ses gros nichons en caressant son minou. L’issue ne fut pas longue à venir. Les grosses cuisses se mirent soudain à vibrer et Mireille lâcha une bordée de cyprine.

— Alors Mimi ? C’était pas bon, questionna Francine ?
— Oh la vache, si ! Purée, j’ai jamais tant mouillé…
— C’était sale ? C’était mal ?
— N… non, crois pas…
— Ben alors, avant de hurler à la mort, faut savoir de quoi on parle… Sauf que là, tu as laissé ce pauvre Jérôme avec ses envies. Allez, bouge tes grosses fesses et viens m’aider à le caresser, lui aussi. ...