A la recherche du temps perdu
Datte: 04/11/2023,
Catégories:
fh,
taille,
forêt,
fsoumise,
contrainte,
Oral
conte,
Humour
aventure,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... féministe, je ne m’en sortirai pas. Il faut donc monter, toujours monter, sans savoir ce qu’il y a au sommet.
Très vite, je retrouve les névés et mes pieds sont gelés, mais je monte. Parfois, la glace est si dure que je glisse, mais Edgar me retient et je monte. J’arrive sur un plateau glacé. Seul objet dans le paysage, un pilier rose qui monte vers le ciel. Je m’en approche. Il n’est pas vertical, mais monte en pente douce. Je m’y engage. Curieusement, le sol y est chaud et mes pieds commencent à apprécier cette nouvelle ascension. Je n’ai aucune idée d’où je suis. Sur cette terre chaude et élastique, de légères herbes jaunes poussent, si fines qu’on les voit à peine.
J’arrive enfin à une sorte de sommet où je peux me tenir. Je veux planter Edgar dans le sol comme je fais souvent quand je fais une pause, mais elle refuse. Le pilier s’élargit et redescend vers une grande plaine rose avec ça et là des collines.
Que Dieu me garde ! Je comprends enfin où je suis et ce que je vois. La bougresse noire n’était qu’un petit modèle. Je me tiens sur le genou d’une femme gigantesque, sans doute une déesse de l’ancien temps, sans doute le Graal lui-même. Elle est blanche et nue. En bas de la pente, je vois son pubis buissonnant : c’est une blonde. Plus loin, les collines sont ses mamelles, rondes et belles, surmontées de tétins roses dressés comme des obélisques et plus loin encore, mais je ne vois pas très bien, il y a un visage. Je crois qu’elle dort.
Peut-être suis-je ...
... mort et voici enfin le paradis des hommes. Je décide de partir en exploration, mais ici, Edgar ne pourra me servir à rien alors je lui dis adieu. Je l’embrasse avec émotion, elle qui m’a tant aimé et je la pose délicatement sur le genou avant de me risquer dans la pente. Le sol de la cuisse est moins stable que celui de la jambe. Je m’enfonce un peu et risque de perdre l’équilibre. Plusieurs fois, je dois me retenir à un poil pour ne pas chuter. Néanmoins, je ne crains pas la chute, car tout me semble si moelleux que je ne me ferais pas mal.
J’arrive enfin au creux de l’aine. Le buisson pubien arrive à ma hauteur et les poils sont très enchevêtrés. La mode des chattes lisses n’est pas parvenue jusqu’ici. Sous les poils, la motte est confortable comme un édredon. Si je veux découvrir la vulve qui est en dessous, je dois descendre d’un étage et comme je ne veux pas me rompre le cou, je m’accroche à deux mains à une touffe et me laisse pendre dans le vide. Les cuisses sont gentiment écartées pour me laisser la place de sauter.
Je me tiens maintenant devant une fente rouge sombre. Plus haut, au-dessus de moi se tient le bouton de rose qui semble m’observer, comme une murène de chair. Je ne vois pas l’entrée parce que les petites lèvres la protègent. Je les écarte à deux mains avec le maximum de douceur, l’une après l’autre.
Me voici devant une nouvelle grotte, humide et chaude, celle-là. Je m’avance et ma nudité me permet de me glisser vers le fond, les parois étant fort ...