1. A la recherche du temps perdu


    Datte: 04/11/2023, Catégories: fh, taille, forêt, fsoumise, contrainte, Oral conte, Humour aventure, merveilleu, fantastiq, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... s’ouvre une grotte sombre d’où sortent d’effroyables ronflements. Quelle bête immonde peut bien avoir trouvé refuge en ces lieux inhospitaliers ?
    
    J’ai rapidement la réponse, car l’animal se réveille et sort sur le seuil de sa maison. Nous sommes face à face. Ce n’est pas une bête, mais une femme, ou plutôt un monstre ayant certains des attributs des femmes. Mesurant plus de trois mètres de haut(je n’ai jamais été très fort en pieds et en pouces), cette dame est noire comme la nuit, et nue, évidemment – qui donc s’habille dans ces pays de neige ? Ses seins sont de grosses outres terminées par de gros saucissons rougeâtres, le buisson qui cache sa vulve est plus embroussaillé que la jungle que je viens de traverser, ses bras sont des jambons et ses jambes des piliers qui soutiennent le monde.
    
    Je n’ai pas peur, Edgar est là qui veille sur moi. Malheureusement, j’ai oublié une clause du contrat qui nous lie, Edgar et moi. Mon épée ne doit jamais s’attaquer à une femme. Quand je taillais dans la viande de mes assaillantes ce matin, Edgar a dû faire attention de ne découper que des singesses, laissant les fières amazones intactes. Voilà pourquoi j’ai succombé, bougre d’imbécile que je suis !
    
    Edgar donc se plante énergiquement dans le caillou, indiquant par là sa non-participation au combat qui s’annonce. Je ne sais même pas comment je vais la sortir de là quand je voudrais reprendre ma route. Si je la reprends, car le combat n’est pas vraiment un combat au sens classique ...
    ... du terme. Le monstre m’enserre de ses gros bras et rentre dans son antre en me portant sur son épaule. Arrivé dans le noir le plus complet, elle me jette sur une paillasse, des branches de sapin, des plumes de volatiles, une couche moelleuse qui sent pire qu’un cadavre de moine, mais j’y suis au chaud, au moins.
    
    Je sens la donzelle se coucher à mes côtés. J’essaye dans un sursaut d’énergie de fuir, mais elle m’attrape lestement par une cheville et me ramène au sol, près d’elle, avec sa peau chaude et douce qui se colle à la mienne. Ah, peut-être qu’elle est simplement joueuse ? Eh bien, je connais des jeux qui vont peut-être lui plaire ; touche-minou par exemple, ou la brouette enchantée, à moins qu’elle ne préfère la cavalerie légère.
    
    Je vais pour lui expliquer les règles, mais elle prend les devants. Une main plus grosse que ma tête me chope les boules, me décalotte le gland et je peux vous dire que dans le noir absolu, c’est très effrayant. Dans le même temps, le monstre s’assied sur ma figure et une gigantesque moule baveuse s’étale sur ma bouche, mon nez et tous ces trucs qui servent à respirer. Alors je sors ma langue puisque mes mains sont coincées. Je lèche, je lèche, je déniche un bouton gros comme mon pouce et je l’astique. Je n’ose pas mordre, elle a toujours mon jouet préféré entre ses doigts. Je lèche, je lèche et pour varier je suce. Ce n’est pas si mauvais, un goût prononcé de champignon, mais des notes de coquillage et d’alcool de prune. Donc je lèche, je ...
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