A la recherche du temps perdu
Datte: 04/11/2023,
Catégories:
fh,
taille,
forêt,
fsoumise,
contrainte,
Oral
conte,
Humour
aventure,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... suce et je sens la bougresse ramollir, sa main me serre moins fort par exemple, mais tout à coup, je me noie. Elle jouit ! Son plaisir est liquide et abondant, j’en avale un peu, mais trop c’est trop.
Heureusement, au moment où la certitude de la mort étreint mon âme, je sens le monstre basculer sur le côté et s’effondrer, lâchant mon vit par la même occasion. Je n’ose bouger, mais bientôt, j’entends ronfler la grosse dondon. Je tâte un peu autour de moi et c’est sur une fesse monumentale que ma main se pose. La géante roucoule dans son sommeil. Je tâte encore et trouve le bord de la couche. Lentement, subrepticement, je me glisse hors du lit et cherche la sortie à quatre pattes. Parfois, un ronflement plus fort qu’un autre me paralyse, mais elle ne se réveille pas.
Je sors enfin sous les étoiles. En effet, je n’ai pas pensé au temps qui passe à l’intérieur, mais il a passé tout de même puisqu’entré sous un soleil accablant, je sors au milieu de la nuit. Où est Edgar ? Vers où dois-je me diriger ? Je pars droit devant moi jusqu’à ce que le sol se dérobe sous mes pieds. Je tombe de quelques mètres et atterris dans des ronces. Je tente de me dégager, mais c’est impossible, les épines me transpercent de toute part. Alors, petit geste après petit geste, je m’enfouis sous le buisson et m’endors.
À mon réveil, le jour est levé, la bougresse aussi, puisqu’à quelques mètres au-dessus de mon buisson, elle se tient droite et belle, je dois bien le reconnaître, avec ses ...
... mamelles dressées plus grosses que des mamelles d’élan, ses lèvres admirablement renflées et sa peau soyeuse d’une teinte terre de Sienne sublime. Elle me cherche, je m’en rends compte à son nez qui renifle les odeurs de la montagne, mais elle ne me voit pas. Je ne bouge surtout pas.
Finalement, elle se retourne et je vois alors cet envers que je n’avais que tâté dans la caverne. C’est le plus beau cul du monde, immense, parfaitement rond et bien fendu. Un instant, j’envisage de me rendre pour qu’elle me ramène dans la grotte, mais je sais que je suis un impulsif et qu’il faut y regarder à deux fois avant de se décider à se jeter dans la gueule du loup.
Maintenant, je ne la vois plus, mais je l’entends qui s’acharne sur quelque chose. Elle ahane et je l’imagine penchée en avant avec les lolos qui pendent et les reins cambrés. Hum ! Aïe ! Dès que je bouge, ces damnées épines me déchirent. Soudain, elle n’ahane plus et j’entends un bruit métallique aisément reconnaissable, et quelques instants plus tard, c’est Edgar qui à la fin d’un long vol plané vient atterrir sur mon occiput. Ouille ! mais je suis content, avec Edgar, nous pouvons nous en sortir.
J’attends à nouveau la nuit, c’est long, mais quand le calme est revenu sur la montagne, je demande à Edgar de me libérer, ce qu’elle fait de bon cœur. En quelques instants, je suis libre. J’ai eu la journée pour réfléchir à mon itinéraire. Si je descends, je retourne chez les amazones et leurs guenons. Si Edgar continue sa grève ...