1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1554)


    Datte: 03/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ne put décrocher, ses errances professionnelles, ses jours interminables passés dans la rue, à chercher chaque soir un endroit calme pour dormir, son recours à la prostitution pour subvenir à ses besoins essentiels… Bref, une vie misérable jusqu’à cette rencontre avec cet homme, un client, lui permettant d’assouvir ses penchants sexuels qui n’étaient que fantasmes depuis sa puberté. Il se soumettait à lui deux à trois fois par mois moyennant quelques euros, jusqu’à cet instant où l’homme en question, lui annonçât qu’il ne pouvait plus le rémunérer de ses « services ». Antoine avait continué à le voir, sans plus se faire payer, juste pour le plaisir de se soumettre à lui…
    
    - Tu comprends mieux Alex pourquoi je n’ai pas hésité un seul instant à la proposition de Monsieur le Marquis d’Evans ! Certes, j’avais besoin de sécurité, mais j’avais surtout besoin de vivre pleinement ces désirs et penchants archaïques enfouis en moi depuis toujours.
    
    esclav’antoine me racontait encore, que depuis qu’il était entré au service du Maître, il était devenu heureux et comblé. Il vivait ce pourquoi il était fait, une vie de contrainte, d’obligations, de ...
    ... résilience, de soumission.
    
    - Qu’il est bon de n’être qu’un vide-couilles, qu’un esclave malléable et corvéable, qu’une putain qui s’assume pleinement, qui n’a plus d’égo, qui subit, parfois souffre pour le plaisir du Maître, qu’une chienne qui se donne avec fierté, sans la moindre pudeur, offrant son cul et sa bouche à tous ceux choisis par le Maître !
    
    Son sexe contraint reprenait un beau et bon volume :
    
    - Hummmm, comme c’est bon de ne pas pouvoir se palucher, de souffrir de la nouille, de la sentir grossir, de la voir boursouffler, se dilater, de la voir s’asphyxier contre les grilles de cette cage….
    
    Au cours de cette conversation j’apprenais qu’Antoine travaillait aussi dans une entreprise de transport, détenue par Monsieur le Marquis, qu’il vivait dans un appartement, propriété du Noble, à Villefranche-sur-Saône. Comme moi, il se rendait au Château dès que le Maître l’exigeait. Je me livrais à mon tour, lui faisait part de mon enfance heureuse, ici à la bastide, du drame vécu avec la disparition de mes parents, de cette révélation que le Maître avait bien voulue me communiquer, celle de mes parents esclaves MDE !…
    
    (A suivre…) 
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