1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1554)


    Datte: 03/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Monsieur le Marquis était un homme droit, et sa perversité était honnête, loyale, franche, jamais il ne s’amuserait à ce jeu-là, jamais il ne prêcherait le faux pour connaitre le vrai… J’en étais convaincu ! J’approchais de Villefranche-sur-Saône, lorsque soudainement un éclair me traversait l’esprit. Cette femme, oui cette secrétaire qu’il me semblait connaitre… Ca y est je me souvenais enfin où je l’avais déjà vu ! Elle n’était autre que cette soumise se faisant baiser, d’une manière bestiale, par Marcel sous le contrôle de cette perverse cuisinière. Oui, c’était bien elle que j’avais vu dans cette cellule, totalement accablée, totalement défaite, se faisant besogner et baiser par ce rustre personnage, en demandant pitié, implorant en vain Madame Marie pour que cesse ce coït animal… Voilà qui, quelque part, faisait tomber l’humiliation que j’avais vécue en passant devant elle avant de quitter l’Entreprise… j’étais soulagé… Elle aussi n’était autre qu’une vide-couilles, comme moi ! Je gambergeais, tremblais de la tête aux pieds, il devait se passer des choses peu orthodoxes dans cette Entreprise... très vite, j’en connaitrais les détails !
    
    Arrivé chez moi, immédiatement, je me douchais vivement et me changeais puis déjeunais, tout en pianotant sur mon téléphone. Le texto reçu provenait bien de Monsieur le Marquis. Je l’ouvrais fébrilement.
    
    - Même si tu n’es qu’un bien piètre suceur de bites, j’ai décidé de t’offrir un temps de plaisir, je t’envoie cette après-midi, ...
    ... chez toi, pour deux heures esclav’antoine… apprenez à vous connaitre, je le veux. Signé : Le Maître.
    
    Je sautais de joie et m’empressais de remercier humblement et sincèrement Monsieur le Marquis... C’est avec une grande impatience que la fin de la matinée se passait … Lorsque esclav’antoine arrivait, j’étais à la fois fébrile et excité. Lui semblait dans le même état que le mien. Je l’accueillais sur le seuil de ma porte. Je l’invitais à entrer, à s’assoir sur le divan et lui proposais un café.
    
    - Désolé, nous avons des consignes précises à respecter… Tiens, de la part du Maître !
    
    Le dominé me tendait une feuille de papier épais portant en entête, les Armoiries du Noble. Je lisais :
    
    « Obligation de vous mettre à poil, tous les deux, dès l’arrivée d’esclav’antoine, interdiction d’utiliser un quelconque mobilier pour vous assoir, vous poserez vos culs à même le sol, interdiction formelle de vous toucher, de vous caresser, de vous lécher, je vous autorise seulement à dialoguer librement. Signé : Le Maître »
    
    Antoine était déjà nu lorsque je relevais les yeux. Je me désapais alors rapidement et m’asseyais, sur le carrelage froid, en tailleur face à lui. Pendant un long moment, nous restâmes à nous regarder, sans un mot… Nos corps, eux, parlaient ! Nos sexes respectifs et emprisonnés cherchaient à s’épanouir. Hélas, ces maudites cages d’acier torpillaient nos ardeurs et nos pulsions. Après un temps certain, avec un œil rieur, Antoine affirmait :
    
    - Je suis certain, ...