La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1554)
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1552) -
Chapitre 18 : asphyxié par une bite inconnue –
- A genoux, donne-moi ta bouche, esclav’alex ! …
Une nouvelle fois, je me retrouvais à genoux devant une bite inconnue, à téter un gland épais et violacé, circoncis, aux odeurs de pisse. Cette queue était longue et épaisse, à m’en étouffer alors qu’elle n’était entrée que de moitié dans ma bouche de putain.
- Avale salope, tu ne ressortiras pas d’ici, tant que ton nez et tes lèvres n’auront pas touché mes poils et mon pubis.
C’était mission impossible… j’étais prêt à gerber, à rendre tripes et boyaux. Lui, forçait sur ma nuque tout en s’introduisant plus encore dans ma bouche, sans se préoccuper de mes spasmes, de mes soulèvements d’estomac. Je bavais, pleurais, avalais quelques centimètres de plus tandis qu’il continuait ne me laissant aucun répit, aucune possibilité de me retirer.
- Avec moi, tu vas en avoir des gorges profondes, j’adore me faire dévorer la bite toute entière dans une gueule de pute comme la tienne.
J’étais au bord de l’asphyxie, mes lèvres étaient encore à plusieurs centimètres de la racine de ce volumineux membre si inquisiteur de ma cavité buccale. De ma bouche s’échappait des mucosités, des glaires visqueuses, des larmes roulaient sur mes joues. J’étais dans un sale état, je peinais à trouver la plus petite des bouffées d’oxygène…
- Eh bien voilà, on y arrive, tu vois ...
... quand on veut, on y arrive, la chienne….
L’homme avait relâché la pression sur ma nuque, s’était emparé de ma chevelure qu’il empoignait vivement et fermement, puis il commençait de longs mouvements invasifs, de grands coups de piston, allant cogner ma glotte à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Un vrai supplice… Je n’éprouvais aucun plaisir physique, seuls mes neurones semblaient excités par cette situation… Ils semblaient me dire : « Tu n’es qu’un vide-couilles, qu’une machine à soulager des burnes, alors contente-toi de faire ton boulot ! ». Sans doute, le boulot, je le faisais correctement, Martial Montambert se raidissait, soufflait de plus en plus fort, geignait doucement.
- Avale sale chienne, avale tout ce que tu as la chance que je te donne !
A cet instant, le Dominant éjaculateur libérait sa semence chaude en plusieurs saccades, en flots successifs, en se plantant au plus profond de ma gorge, en me tenant fermement de ses deux mains plaquées derrière ma nuque… J’étais dans un état pitoyable... contraint d’ingurgiter ce sperme alors que lui restait planté en moi, sa queue toujours raide et immobile. Au bout de quelques minutes celle-ci mollissait, j’espérais qu’il quitte au plus vite mon orifice buccal pour que je puisse enfin respirer normalement et reprendre mes esprits. Mais rien, il restait dans ma bouche me maintenant toujours la tête, mes lèvres contre son pubis poilu. Qu’attendait-il ? Soudainement, un fluide chaud coulait dans ma gorge… Il pissait, ...