La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1554)
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... surpris je m’étouffais, régurgitait, recrachais… Il empoignait ma chevelure, se retirait de ma bouche, me faisait redresser la tête pour me gifler sévèrement.
- Ouvre ta gueule, putasse, je t’ai dit de tout avaler ce que tu avais la chance de recevoir !
Terrorisé, totalement anéanti, sans plus aucune force, j’obéissais, alors que lui, urinait par à-coups pour me laisser le temps d’ingurgité. Dès que quelques gouttes s’échappaient de ma bouche, il me re-giflait inlassablement, sévèrement.
- Nettoie ma queue maintenant, esclave de mes deux !
Enfin, le pisseur rangeait son membre dans son pantalon et m’autorisait à me relever…
- Au fait, tu n’as rien à décider, je t’embauche, puisque j’ai déjà obtenu l’accord de Monsieur le Marquis, tu seras là demain matin à 8 heures précises, pour une journée de formation...
La messe était dite, j’étais autorisé à quitter le bureau… Souillé, ma chemise blanche n’était plus que chiffon imbibée de pisse, de bave, peut-être de foutre, même si j’avais le sentiment d’avoir tout avalé. Martial Montambert me raccompagnait jusqu’à sa porte de bureau, je dévalais les escaliers à toute vitesse… Alors que j’atteignais la dernière marche, je l’entendais crier :
- Prépare-toi à la prendre dans ton cul de lope, dès demain, petite pute !
Ultime humiliation ! Evidemment la secrétaire assise derrière son bureau avait tout entendu…. Pudiquement, elle ne relevait pas la tête, lorsque je passais devant elle… Il valait mieux qu’elle ne ...
... me voit pas dans cet état... Quoi que, je compris que sa tête restée baissée signifiait qu’elle devait être soumise et habituée à ce genre de situation, enfin c’est ce que je supposais !…
- Bon après-midi Monsieur Lapeyrière !, me disait-elle timidement, toujours sa tête regardant le plateau de son bureau, lorsque je sortais.
Premier réflexe en arrivant dans ma voiture, je me regardais dans le rétroviseur. C’est à peine si je me reconnaissais… Les yeux encore mouillés, des traces de larmes, des marques rougeâtres de mains sur mes joues, tant j’avais reçu de gifles, mes cheveux en bataille, avec ce goût de foutre et de pisse encore omniprésent dans ma bouche et ce sentiment d’être tombé dans une souricière, je me sentais totalement avili, démoli, affaibli, asservi, abâtardi ! Ce dernier qualificatif semblait répondre au mieux à ce que j’étais devenu, un vrai bâtard avili et assujetti… Sur le chemin du retour à la bastide, je roulais doucement, jamais je ne m’étais senti aussi veule, sans force, sans énergie et pire encore sans volonté. N’était-ce point l’objectif fixé que d’être apathique, dépendant, totalement dépendant aux Volontés et Exigences de Monsieur le Marquis ? Alors que je ressassais tout ça, mon téléphone portable vibrait dans la poche de mon pantalon. Conduisant, même à faible allure, je ne pouvais le lire…
Était-ce le Maître qui m’adressait des sms ? Voulait-il savoir comment cet entretien s’était passé ? Non sans doute pas, il devait déjà le savoir ! ...