1. Vague scélérate


    Datte: 24/10/2023, Catégories: ffh, vacances, voyage, bateau, Oral pénétratio, aventure, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... barre très noire est en train de monter sur le fond du ciel et les oiseaux font du rase-mottes. Normal, on est en hiver austral, la saison des pluies. Je cours comme un fou doubler les piquets de fixation du spi. Les filles remisent tout ce qui traîne sous l’avancée de la tente, arrimant tout ce qui est possible de l’être. Nous nous préparons au pire, mais nous le connaissons déjà. Il est temps de déjeuner, nous faisons un feu qui est peut-être le dernier avant plusieurs jours, histoire de manger chaud. Une brise se lève, assez fraîche, mais ce n’est qu’une brise. Puis, en milieu d’après-midi, la pluie arrive, presque tiède. Je trouve que le moment est idéal pour une douche gratuite et sans effort à l’eau douce. Je me déshabille et je sors avec une savonnette. Après un instant d’hésitation, les filles me suivent.
    
    C’est la première fois que je vois Francesca nue et je ressens à peu près la même émotion que le matin en voyant Laura. Une beauté, très italienne, beaucoup plus charnue et voluptueuse que sa sœur, bien qu’à peu près de la même taille. Leur seul point commun, le bleu de leurs yeux. Sans hésiter, Laura me savonne, partout partout, et bien sûr je bande comme un bourricot. Puis elle me passe la savonnette pour que je la savonne et… que je savonne sa sœur. Le pied ! Les seins généreux de Frane, son fessier plantureux, tout ce corps enrobé de moelleux, si doux à pétrir, me fascine, m’enchante et m’enfièvre. Elle le sent, sa sœur aussi. Voilà deux déesses, l’une à la ...
    ... blondeur et la silhouette nordique, mais à la peau mate qui capte le moindre rayon de soleil, l’autre à l’anatomie et à la chevelure transalpine, mais avec la peau laiteuse d’une scandinave. Paix à son âme, mais le roi de la pâte a réussi un sacré doublé. Les ablutions terminées, les filles rentrent se sécher à l’abri, je vais changer le réservoir d’eau de pluie, ça me calme. Dire que cette première flotte est parfaitement limpide serait mentir. Elle a rincé le spinnaker et est un peu trouble. Une fois décantée, elle sera parfaite pour rincer nos tignasses. En tout cas, ça donne fort et un jerrycan se remplit en moins de dix minutes. Perdre cette eau douce serait scandaleux, alors je fais l’inverse : je transporte les jerrycans au bateau pour réalimenter le réservoir. Nous grignotons à l’abri notre dernier blister de jambon et quelques fruits, à tâtons sur la fin, car la nuit est tombée. Et puis au dodo malgré le martèlement permanent de la pluie sur la voile. Apparemment, c’est étanche. Je sens soudain la main de Laura, ma voisine de matelas, se poser sur ma poitrine puis descendre, descendre… Le drap s’envole et sa cuisse vient sur les miennes, puis son corps sur le mien. Quelle liane ! Elle s’enroule autour de moi, sa bouche trouve la mienne et son sexe cherche le mien à petits coups de bassin. Quand il le trouve, elle s’empale en ronronnant comme une chatte et très vite se met en mouvement à la recherche de son plaisir. Oui, mais, ce faisant, elle gémit et ahane comme un ...
«12...121314...26»