1. Vague scélérate


    Datte: 24/10/2023, Catégories: ffh, vacances, voyage, bateau, Oral pénétratio, aventure, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tellement longues que ça paraît d’une facilité déconcertante. Collés l’un à l’autre, ses tétons vrillent ma poitrine, sa langue s’enroule autour de la mienne, comme sa jambe levée qui se love autour de ma cuisse. Cette fille est une liane et je tiens dans mes mains étonnées deux boules de bowling, lisses et dures, pressant son bassin contre le mien. Moment d’éternité en toute voracité, mais la pose devient vite fatigante. Elle m’entraîne à sa suite jusqu’au premier arbre sur lequel elle prend appui, me tendant son joli petit cul pommé. Nouveau bonheur, nouvelles sensations, premier orgasme quand je lui massacre en même temps les tétons. Là, elle flanche et nous continuons à quatre pattes, en levrette. Cette fois, c’est à son clitoris que je m’attaque sans ménagement.
    
    — Préviens-moi, crie-t-elle soudain. Mes pilules sont noyées depuis quinze jours.
    
    Quand elle atteint son second orgasme, je lâche les chevaux et annonce bientôt ma reddition. Elle se retourne d’un coup de reins et embouche ma queue en l’astiquant à toute allure. J’éjacule dans sa bouche à longs jets interminables, des semaines de réserves.
    
    — Ben dis donc, pour un besoin c’était un besoin urgent ! Ça y est, moi, j’ai déjeuné !
    — Excuse-moi, j’avais du stock.
    — Mais je ne me plains pas. Ça m’a beaucoup plu et même j’en redemande.
    — Oui, mais là, il est temps de rentrer, au moins pour Frane.
    — C’est vrai, sors le bois et on y va.
    
    Je sors le bois de l’eau, en profitant pour laver ma zigounette ...
    ... ramollie, puis je charge nos sacs à dos. Laura endosse le sien, y ajoutant ses vêtements roulés en boule. Moi je me rhabille. Direction le campement.
    
    — Dis-moi, Laura, pourquoi t’as fait ça ?
    — Quoi donc ?
    — Ben… l’amour avec moi. Je sais bien que je suis le seul mec dispo ici, mais…
    — Devine !
    — Sais pas, moi. Contre coup de ce qu’on a vécu, appétit sexuel débordant, acte désespéré ?
    — Même pas. Parce que je t’aime, benêt.
    — Waouh ! Tu m’aimes ? Mais comment tu peux dire ça, on se connaît à peine…
    — Ha ha ! À peine oui, à peine depuis quinze jours. Mais avec un naufrage, trois rescapés sur huit, quinze jours de galère pour parvenir à un semblant de confort en mode survie. Quinze jours pour un mec avec deux nanas plutôt tentantes qui n’a jamais eu un geste ou une parole déplacés. Y a pas un couple qui vit ça en quinze ans. Pour moi, ce mec-là, plutôt beau gosse en plus, je dis c’est une perle. Et puis le désir, ça ne se raisonne pas.
    — Pas faux…
    
    Nous arrivons au camp et Francesca écarquille ses jolis yeux bleus.
    
    — Oh ho ! Ma Lolo à poil ! Aurais-tu fauté avec le seul Adam du paradis terrestre ?
    — Arrête de m’appeler « Lolo », tu sais bien que j’ai horreur de ça. Et alors ? Jalouse ?
    — Un peu, oui. Mais l’handicapée a quand même fait la jonction en sable avec les matelas. Le sentier est désormais aussi praticable que le Boulevard des Italiens.
    — Bien ! Bravo Frane, approuvé-je.
    — Oui, mais… Regardez là-bas… quelque chose de pas sympa se prépare.
    
    En effet, une ...
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