Vague scélérate
Datte: 24/10/2023,
Catégories:
ffh,
vacances,
voyage,
bateau,
Oral
pénétratio,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... toute l’eau tombant du ciel ruissellera jusque dans nos réservoirs, munis d’un gros entonnoir et de deux passoires comme filtres. Mais surtout, cette voile très colorée vert et rouge constitue un repère en cas de survol par un avion. Pour l’instant, il n’y a que les frégates, ces pirates de l’air, qui baladent leurs doubles queues au-dessus de nos têtes, de plus en plus près d’ailleurs.
Mine de rien, nous consommons beaucoup de bois avec nos feux quotidiens. Certes, nous avons une vingtaine d’hectares de forêt à portée de main, mais ces espèces ne font pas beaucoup de branches et de bois mort. Surtout des feuilles trop vite brûlées. Avec Laura et nos sacs à dos, nous commençons à quadriller cette forêt, trouvant toujours des fleurs plus belles et des fruits plus délicieux. Quelques vieux arbres sont couchés sur le sol, abattus par l’âge et les tempêtes. Je scie les parties les plus fines, travail harassant par cette chaleur. Mais la meilleure source reste le bois flotté, essentiellement concentré de l’autre côté de l’île et plus ou moins piégé par la barrière de corail assez proche, une centaine de mètres.
— Je vais en chercher et tu récupères, me dit Laura péremptoire.
Sur ce, elle pose t-shirt, short et petite culotte avant de se jeter à l’eau. La mâchoire m’en tombe.
— Eh bien ? T’as jamais vu de femme à poil ?
— Ben si… mais des belles comme toi, non jamais.
— T’es trop mignon, me répond-elle en me claquant un gros baiser sur la bouche.
Émoustillé est ...
... trop peu dire. Étonné sûrement, chamboulé c’est certain, excité je le sens bien. Je la regarde s’éloigner, plonger, crawler, continuant de l’admirer à travers l’eau transparente du lagon. Cette fille est une torpille dans l’eau. Les dieux de l’Asgard se sont penchés sur son berceau. Longiligne au possible, très mince, mais pas maigre, des épaules carrées, une cage thoracique bien développée, une taille fine, une olive parfaite des hanches, deux petites fesses hautes et rebondies comme deux melons et des seins… petits, c’est vrai, mais coniques et drus, terminés par deux aréoles boursouflées et deux tétons cylindriques gros et dressés. Elle pourrait être mannequin de mode, archétype de la féminité nordique. Elle empile les morceaux de bois en une sorte de radeau flottant gros comme un nid de rat musqué et pousse le tout à la seule force de ses battements de pieds.
— Hou ! Ça fait du bien un bon bain. Allez à toi, à poil et sors-nous tout ça de l’eau.
Je m’exécute, mais… je ne peux dissimuler une érection majuscule.
— Waouh ! Mes respects, beau mâle ! C’est en mon honneur ce grand émoi ?
— Je ne vois personne d’autre…
— Alors merci. C’est toujours agréable de plaire à un bel homme. Je me sens dans l’obligation de le récompenser pour un tel hommage.
Elle tombe à genoux et se met à me pomper avec empressement et savoir-faire. Délicieux, fantastique. Puis elle se relève sans lâcher mon sexe et le positionne à l’entrée du sien. Elle est tellement grande, ses jambes sont ...