Une journée lubrique
Datte: 23/10/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
fépilée,
hotel,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
québec,
amouroman,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... tentant de comprendre toute l’envergure de ce qu’elle venait d’affirmer.
La manière dont elle décrivait notre liaison était si belle. Une symbiose sacrée, sensuelle, unique. J’étais immensément flatté par le fait qu’elle puisse trouver avec moi cette « communication intime et profonde ». Quel merveilleux compliment, surtout venant d’une femme aussi magnifique qu’elle ! Je ne pensais pas que cela puisse exister à l’extérieur de l’imaginaire, et encore moins que je puisse le vivre, et encore, encore moins à mon âge. Pourtant, c’était probablement l’âge qui me permettait de reconnaître l’unicité de ce que nous pouvions créer ensemble, plutôt que de chercher, ou espérer trouver mieux, plus, ailleurs. Je trouvais plutôt incroyable que cette femme décide de partager avec moi ce qu’elle considérait si sacré. Mon cerveau primitif mâle ne trouva rien de mieux à faire que de faire naître une autre érection, ce qui nous ramena rapidement à notre communion sacrée lorsque nous fûmes suffisamment ravitaillés.
Ainsi, même si nous avions toute la journée devant nous, je n’avais pas pour autant l’envie d’en perdre un seul instant. Mon envie de goûter son corps entier ne se borna pas très longtemps à contourner son soutien-gorge, aussi magnifique fût-il. D’une seule main, qui me rappela ma tendre jeunesse, je le dégrafai son soutif, qui vola rapidement un peu plus loin dans les draps. Encore complètement habillé, pour ma part, il ne restait plus à Sophie que ses fins souliers aux pieds. ...
... Sans me soucier davantage des bonnes manières, je commençai à embrasser ses seins goulûment.
Oh ! Qu’est-ce qu’ils étaient bons ! À deux mains, je m’emparai de l’un de ses jolis globes, pendant que je léchais délicatement sa pointe hérissée. Sous ma langue, je la sentis se raffermir, durcir, devenir un roc de chair. À l’inverse d’une glace qui fond dans la bouche d’un gamin, son sein se dressait, se contractait, bandait alors que je le dévorais. J’entendais Sophie soupirer au fil des frémissements qui parcouraient sa poitrine. Pour équilibrer mes bons soins, j’interchangeai un sein pour l’autre entre mes lèvres, laissant mes mains masser le premier. Je fus à nouveau remercié par un mamelon réactif, qui s’extruda entre mes dents, qui vint à la rencontre de ma langue, qui me procura un vif plaisir. De sentir le corps de Sophie réagir si promptement, si sensuellement, si énergiquement à mes caresses s’emplissait de bien-être, m’amenait dans un état presque euphorique. Ce seul contact mammobuccal m’excitait intensément. Je sentais mon sexe buter contre mes vêtements, n’ayant plus de place pour grandir et grossir davantage.
À cheval sur l’une de ses jambes, je le tenais pressé fermement contre sa cuisse. J’avais envie de lui faire sentir toute la concupiscence qu’elle faisait naître en moi et que son être magnifique m’insufflait. Sous ma paume, son sein restait dur comme un marbre sous son enveloppe charnelle et satinée. Entre mes doigts, sa cime ferme roulait délicatement. ...