Truckers 4
Datte: 22/10/2023,
Catégories:
f,
fhh,
inconnu,
campagne,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
totalsexe,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... vint faire tournicoter sa bite devant ma bouche tandis que le bedonnant fourrait tour à tour mon anus et ma vulve.
Je regardai la main qui astiquait la queue, laissant apparaître son gland costaud et presque noir.
— Dans ma bouche, ta bite dans ma bouche !
Les saloperies fusaient de toute part, les coups de queue basculaient mon corps d’avant en arrière dans un mouvement cadencé.
Le bedonnant claquait mes fesses de ses grosses poignes calleuses.
J’étais cramponnée des deux mains à la pine de l’autre. Je branlais tant, que mes bras en étaient douloureux. Les deux se relayaient à nouveau dans mon cul, je tendis la main vers mon sac à dos et en sortis mes joujoux.
Le petit vrombissement du gode fit rire un peu les deux lourdauds et en emplir mes trous leur permit de glisser dans le même temps leurs queues dans ma bouche.
Je crus que la commissure de mes lèvres allait se déchirer et même si les deux sexes me rendaient aux limites de l’asphyxie, je ne pouvais arrêter de sucer. Une forme de mécanisme sans fin allait dans ma gorge.
Après, un membre dans chaque main, tandis que mon gode grande taille semblait travailler en autonomie, j’eus un peu de répit, laissant leurs grosses paluches malaxer mes seins.
— Oh ! les nichons, putains les nibards, la salope !
Ne laissant pas trop reposer les corps, j’accélérais le piston sur les bites. Les deux camionneurs redevenaient raides.
— Toi défonce-moi encore le cul, lançais-je à l’autre en lui tendant un ...
... martinet que j’avais sorti de mon sac.
D’abord frileux dans le geste, je l’engageai à plus de vigueur alors que je claquais la longue bite du bedonnant contre mes joues. Les coups pleuvaient maintenant sur ma peau, alternant avec les saccades de sa bite enfoncée jusqu’à la garde dans le trou de mon cul.
Presque simultanément, les deux bites giclèrent en jets longs et tièdes. Je jouissais tant que ma voix ne franchissait plus le seuil de ma gorge. Un cri blanc.
— Salope, salope… répétaient les deux gars comme une incessante litanie.
Lorsqu’il quitta mon cul rageusement, je m’agenouillai sur le sol, les deux hommes assis devant moi, je léchai le sperme gras de leurs glands, aspirai leurs couilles avec le bruit particulier de la succion. Une forme de ferveur était en moi.
J’aurais voulu que l’on refasse le jeu, mais les queues étaient molles. Les deux hommes ricanaient avec l’hébétude et la fierté des balourds.
— Toi alors, t’es une sacrée salope, jamais vu ça !
— Merci, vraiment cela fait plaisir à entendre.
Je repris leurs queues en bouche.
— Elle en veut encore, la pute, fit l’un.
— On dirait, mais on est un peu secs, poupée.
Je caressai leurs ventres lourds, remontant jusqu’au torse mouvant et velu. Je pris leurs mains pour enfouir leurs doigts boudinés dans mes trous. Puis, tour à tour, j’engloutis ma langue dans leur bouche. Mes deux mains malaxaient leurs couilles, remontant jusqu’au gland.
— On peut plus, salope, on t’a dit, on peut plus !
— ...