Truckers 4
Datte: 22/10/2023,
Catégories:
f,
fhh,
inconnu,
campagne,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
totalsexe,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... n’aime pas ses injonctions, je n’ai pas demandé ni même souhaité cette soirée suisse. Mais soyons honnêtes, son empressement accroît l’idée même d’un désir, dont j’entrevois les contours sans en deviner le détail.
Le temps passe et Marc est à vingt minutes, bonne vitesse – vous le savez, Marc déjoue facilement radar et autre contrôle routier.
J’allume le petit plafonnier de l’habitacle. Déjà, l’étage supérieur du camion à mes côtés m’a repéré. Une tête bien ronde et pourpre me fait voir qu’elle me voit.
J’ouvre ma portière pour laisser passer mes jambes et ma jupe de classification ennuyeuse, selon Lily-Rose, remonte au rang d’allumeuse sur mes cuisses.
L’horloge du tableau de bord s’affole. Cinq minutes viennent littéralement de défier la mécanique du temps qui passe. J’ouvre ma chemise et caresse mes seins, l’autre main s’affaire sous l’élastique de ma petite culotte.
Le petit rondouillard m’appelle dans un chant poétique qui aimante mon corps.
— Allez, salope, vient te faire défoncer !
Je tends mon cul vers son regard et lui hurle dans son camion, curieusement sans quitter sa cabine.
Dix minutes, et à nouveau un appel de Marc. Je claque la portière. Oh, j’ai failli chuter en quittant ma petite culotte. Je file dare-dare vers la cabine.
— Tu vas me baiser vite fait bien fait mon petit salaud.
Je tends mon cul et je sens sa langue sucer mon sexe, sa bouche crache dans ma chatte.
— Baise-moi, encule-moi, salaud !
— J’peux pas bander, ...
... connasse de pute !
Tout subitement, monte en tension dans la cabine. Le petit gros s’énerve, le temps défile, mon cœur bat follement. Je le pousse violemment, sa tête heurte la vitre derrière. La colère le défigure, de ses deux mains en tenaille, il tire mon visage vers son sexe.
— Avale mes couilles, sale putain, tu m’as allumée, tu vas payer, salope !
Ses couilles sont comme deux grosses figues fripées qui pendent, où se perd une toute petite bite dont seul le gland émerge. Tandis que je les lui suce et qu’il me matraque le cul d’une fessée qui m’emporte dans une incontrôlable jouissance, je reconnais le ronflement particulier de la voiture de Marc.
Je quitte les deux figues presque à regret. J’aperçois Marc qui tapote sur son volant.
— Tu restes là, pouffiasse, fait le rondouillard en me tenant les poignets.
Je me redresse violemment.
— Lâche mes poignets, hurlé-je, lâche, et je te branle, connard !
Marc fait les cent pas à dix mètres à peine du camion. Malgré la peur qui me tient, je jouis en branlant les couilles du petit gros qui tombe à la renverse, visage entre mes jambes. Il jouit autant que je serre les mâchoires de bonheur.
Puis il tient fermement mes hanches.
— Lâche-moi, connard, fais-je en serrant ses couilles dans mes mains d’une force qui semble ne pas venir de moi.
Son cri de douleur n’est pas audible tant il suffoque.
J’ai ouvert la portière, rajusté ma jupe, boutonné ma chemise à la hâte. Je cours vers Marc.
— Mais enfin, ...