Truckers 4
Datte: 22/10/2023,
Catégories:
f,
fhh,
inconnu,
campagne,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
totalsexe,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... tout comme j’avais connu la hardiesse sur mon propre terrain, tout comme j’avais laissé tant d’hommes prendre mon corps dans les jardins et les parcs, dans les musées et les ruelles de Paris, soudainement je tombais le masque de pudeur que j’avais chaussé jusqu’alors et retrouvais les élans que mon corps avait connus sans retenue sans réflexion seulement mue par le désir le plus pur.
Je trottinai un peu à leur côté et :
— Oui, je veux visiter votre cabine, vraiment j’en ai envie.
Le crissement des freins quelque dix mètres plus loin fit virer sensiblement l’arrière du chargement. Je crus un instant que tout allait virer vers le gouffre. Je priais qu’il n’en fut pas ainsi, j’avais tellement envie que l’on baise mon corps.
Lorsque la portière s’ouvrit, le chauffeur me hissa jusqu’en haut en m’affublant à nouveau du « jolie promeneuse », ridicule et inadéquat.
À peine sur la banquette, je dégrafai ma chemise.
— Pas de « jolie promeneuse », traitez-moi de salope, je préfère.
Je caressais mes seins avec vigueur, les relevant vers ma bouche pour en lécher la pointe, tandis que les deux lascars quittaient pantalons et slips laissant pendre leur bite sous leur ventre lourd.
Je m’allongeai, quittai mon jean.
— Lèche-moi, dis-je sèchement en prenant le visage de l’autre. Et toi fourre ta bite dans ma bouche.
Ma main malaxait ses couilles couvertes de poils épais alors que sa queue durcissait dans ma bouche. Son gland, comme gélatineux, glissait ...
... vigoureusement d’une joue à l’autre.
De l’autre main, je maintenais fermement la chevelure du second type, m’y agrippant, le forçant littéralement à s’étouffer dans mon sexe.
Le chauffeur grognait comme le moteur de son camion. Je sortis sa bite de ma bouche.
— T’es timide, lui lançai-je, presque avec colère. Traite-moi de tous les noms au lieu de beugler.
Bien entendu, le vocabulaire restait pauvre, mais plus que tout, les « sale pute », « salope » et « chienne » décuplaient mon plaisir.
Et même si cela m’était peu arrivé, je sentis comme un geyser contenu trop longtemps, je sentis mon sexe envoyer un liquide chaud qui doucha littéralement la face empourprée de l’autre.
— La salope, elle me pisse dans la gueule !
Je suçais avec une folie redoublée la queue du bedonnant pressant ses couilles au même rythme. Une giclée de sperme emplit ma bouche, que je régurgitai en attrapant la bouche de l’autre.
Le bedonnant branlait son membre pour retrouver de la vigueur, alors je lapai son gland pour aider.
Lorsqu’il fut raide, je tendis mon cul en écartant au mieux mes fesses de mes mains.
— Enculez-moi, gros porcs !
Insultez un homme et sa hargne à vous baiser grandit.
On me cracha dans les orifices, puis je sentis comme un tronc d’arbre pénétrer mon cul et laisser place au copain et recommencer. Une bite fichée dans mon cul est un état supérieur de l’avilissement et du sublime conjugués. Indescriptible. À vivre.
— Encore, encore mes salauds !
L’autre ...