Accident de parcours - Histoires de Sexe

Accident de parcours

... évident que c’est Maryse l’instigatrice, c’est la seule qui puisse avoir un mobile et manifestement c’est elle qui a conçu ce scénario. Les deux jeunes femmes m’ont manipulé, la rencontre avec la jeune randonneuse n’était pas fortuite. Mais dans quel but ? Je ne vois pas trop ce qu’elles avaient à y gagner. Maryse n’a pas couché avec moi, que je sache.

Je décide d’aller attendre ma copine pas très loin de chez elle. J’ignore à quelle heure elle quitte son travail, si c’est loin et si elle revient directement chez elle. Mais, une nouvelle fois, les dieux sont avec moi, je la vois arriver sur le trottoir d’en face. Il faut que je me décide. Je l’interpelle ou je reste caché ? J’ai peur des répercussions, mais ne peux pas rester dans l’ombre éternellement. Je traverse la rue en tremblotant, le stress me tord les boyaux, j’ai presque envie de fuir.

— Bonjour Natacha, dis-je timidement.

Elle lève les yeux vers moi, stupéfaite.

— Mais qu’est-ce que tu fais là ? Comment tu m’as retrouvée ?

Elle est surprise, mais pas fâchée. Je lui explique comment j’ai contacté son oncle, puis ses parents, comment j’ai eu son adresse.

— Trop fort, toi, tu mérites bien un bisou.

Pas gênée pour deux sous, elle pose ses lèvres sur les miennes dans un baiser fort chaste.

— J’imagine que tu te poses plein de questions. Tu veux monter chez moi ? C’est juste en face. Je suis vraiment heureuse de te revoir.
— Moi aussi je suis heureux, Natacha.
— Allez, viens, tu vas me raconter ...

... tout ça.

Elle est enjouée, presque hilare. La porte à peine refermée, la voici qui se jette à mon cou et qui m’embrasse à pleine bouche. Elle n’a rien perdu de son entrain.

— Putain, j’ai envie de toi, j’ai envie que tu me fasses l’amour, là, maintenant, cela fait si longtemps, je deviens folle quand je suis avec toi, Cédric.
— Mais pourquoi ne donnais-tu plus signe de vie ? Pourquoi ces longs silences ? Je pensais que tu ne voulais plus me voir…
— Si tu veux bien, nous parlerons de tout ça après, pour l’instant, j’ai vraiment envie de baiser.

Elle m’entraîne dans sa chambre :

— Vite, déshabille-toi ! Prends-moi ! Cette fois, je ne te demanderai pas de m’engrosser, car c'est déjà fait !

Un merveilleux sourire orne son visage à la suite de ce bon mot, elle n’a rien perdu de son humour pince-sans-rire.

Il ne lui faut pas longtemps de son côté pour se retrouver nue, je suis un peu plus lent à la détente. De voir son ventre bien rond, ses seins qui ont doublé de volume et ses mamelons bien sombres me fait dresser la bite. Sans préliminaire, elle m’attire sur le lit :

— Vas-y, plante-toi en moi !

J’essaie d’être le plus délicat possible, j’ai peur de lui faire mal.

— Ne t’inquiète pas, bébé le dira si quelque chose ne lui va pas. Vas-y empale-moi, je suis trempée d’envie pour toi.

C’est vrai qu’elle mouille beaucoup à chaque fois, les bruits des va-et-vient de ma queue dans sa chatte juteuse nous excitent encore. Elle en veut encore plus, plus fort, ...