1. Aurélie


    Datte: 05/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... deux hommes dînaient en bavardant joyeusement. Mon maître remarqua l’intérêt que portait l’un d’eux à mes cuisses puisqu’il me demanda de les écarter, ce que je fis. La couleur pivoine du visage de l’homme me renseigna sur ce qu’il avait vu et mon maître me demanda de resserrer les cuisses afin que le pauvre homme puisse finir de manger et ne meure pas d’apoplexie. De mon côté, je me sentis couler.
    
    Au retour, vers vingt-deux heures trente, mon maître me convoqua dans le salon :
    
    Demain matin, tu me réveilleras à 7 heures. Tu me prépareras le petit déjeuner et tu feras le service.
    
    Bien maître. Bonne nuit maître.
    
    Bonne nuit, boniche.
    
    En me couchant, je m’aperçus que j’avais passé une bonne soirée auprès de mon maître. Le lendemain, je me levai à 6 h 30, fit ma toilette et m’habillai. Puis je préparai le petit déjeuner de mon maître et allai frapper à sa porte.
    
    Entrez, me dit-il d’une voix claire.
    
    Lorsque j’ouvris la porte, il repoussa les draps. Il était nu, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant, et une superbe érection ornait son bas-ventre.
    
    Je crois que tu vas prendre ta première leçon. Suce-moi, me dit-il en mon présentant son sexe.
    
    Je m’agenouillai sur le lit et pris la verge dans la main. Je ne l’avais jamais vue d’aussi près. Elle était chaude entre mes ...
    ... doigts. Impatient, mon maître fit pression sur ma nuque pour que je le suce. J’embouchai maladroitement la queue de mon maître et commençai à le sucer. Cela dut lui plaire car bientôt, je sentis de puissantes giclées dans ma bouche. Je me mis à tousser et je recrachai la plupart de ce qu’il m’avait envoyé dans la gorge. Mon maître me repoussa et dit, en colère :
    
    Tu seras punie pour cela. Il faut que tu acceptes le sperme que l’on te donne et tu ne dois rien recracher. Maintenant, dehors, et attends moi pour me servir.
    
    Mortifiée, je sortis de la pièce et allai attendre mon maître dans la salle à manger. Lorsqu’il s’assit, je lui servi son petit déjeuner, qu’il avala sans un mot et sans me regarder. Au moment de partir, il me lança :
    
    Je rentrerai tôt, aujourd’hui. Vers 14 heures. Nous irons faire quelques achats pour toi. Il n’est pas concevable qu’une boniche s’habille en Chanel ou autre.
    
    Bien maître, je serai prête.
    
    Tu as intérêt.
    
    Bonne journée, maître.
    
    Il sortit sans même répondre et je sus qu’il était fâché. Je me pris à redouter et à espérer la punition qu’il m’avait promise. La matinée passa trop lentement. Pour la première fois, je venais de réussir à préparer un repas correct, même si mon maître n’en profiterait pas, puisqu’il ne devait pas rentrer avant 14 heures. 
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