1. Aurélie


    Datte: 05/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... rester.
    
    Huitièmement, si tu es encore là demain soir, tu m’attendras dans le couloir, à genoux, cuisses largement écartées, tête baissée, mains dans le dos. Ce sera ta position d’attente pour chaque jour.
    
    Si tu n’es pas d’accord, tu fais ta valise et tu quittes l’appartement. A toi de choisir. Je te laisse jusqu’à demain soir pour te décider. Bonne nuit, boniche.
    
    Et il quitta la pièce, me laissant seule, abasourdie, en larmes. A aucun moment je n’eus l’idée de rabaisser ma jupe qui découvrait mes fesses. J’étais là, au milieu de la pièce, immobile, incapable de faire un mouvement. Quand enfin je me décidai à gagner la chambre, une demi-heure avait passé. Je faillis oublier ses recommandations quant au fait que je ne partagerais plus son lit et je faillis entrer dans la chambre conjugale. Au dernier moment, je me ressaisis et, alors que j’allais repartir, j’entendis la voix étouffée de mon mari. Il téléphonait à quelqu’un. Je l’entendis parler de moi avec une autre personne. Il disait :
    
    Elle est à point… Oui, je pense qu’elle va rester … Où veux-tu qu’elle aille ?...
    
    Je n’entendis pas le reste car il baissa le ton. Ainsi, il avait combiné le tout avec quelqu’un, mais qui ?
    
    Toutes ces questions trottèrent dans ma tête toute la nuit et je ne dormis pas beaucoup. J’entendis Frank se lever, prendre sa douche et s’en aller. Je me levai à mon tour, toujours indécise. Je me disais que je ne devrais pas accepter d’être traitée ainsi et que je devrais m’en aller. ...
    ... Mais pour aller où ? Frank avait raison. Et puis, il y avait ce que j’avais ressenti hier au soir, pendant la fessée, cet orgasme violent, dévastateur, cette honte excitante d’être traitée comme une gamine et rester pendant des heures (deux ?) au coin, le cul nu. Je ne pouvais nier que tout cela m’avait plu.
    
    Toute la journée je ressassai et soupesai le pour et le contre. Un trouble étrange s’empara de moi, au fur et à mesure que le temps passait et je sentis le fond de ma culotte s’humidifier. Jamais encore je n’avais ressenti une telle sensation. Je la retirai même et je humai mon odeur. Je sus alors que je devais rester.
    
    Peu de temps avant que Frank ne rentre, j’eus l’intention de changer de culotte, mais je m’en gardai bien. Je voulais qu’il sache, s’il le désirait, quelle salope j’allais devenir. Je me dirigeai vers le couloir et pris la position. Je ne tardai à sentir ma culotte se mouiller. Lorsque j’entendis la clef dans la serrure, je faillis jouir.
    
    Frank entra, et sans me jeter un regard, posa ses affaires sur la console. Enfin, il jeta un regard vers moi. Ma jupe, très courte, remontée haut sur mes cuisses, laissait voir ma culotte. Et il ne faisait aucun doute qu’il pouvait voir l’entrejambe trempé.
    
    Alors, tu es restée, boniche, me lançât’ il d’un ton amusé.
    
    Oui, maître, répondis-je d’un ton humble.
    
    Tu sais ce qui t’attend ?
    
    Oui, maître. Je vous servirai de tout mon cœur. Je serai votre boniche, votre esclave, votre vide-couilles, comme il vous ...