Aurélie
Datte: 05/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... plaira. Je ne demanderai qu’une faveur…
Crois-tu être en position de demander une faveur ?
Non maître. Toutefois, je sollicite l’autorisation de la soumettre. Il vous appartiendra ensuite d’y consentir ou de refuser.
D’accord, expose ta demande.
Je vous demanderai, pour tout ce qui est sexuel, de m’éduquer progressivement.
C’est tout ?
Oui maître. Pour le reste, il vous appartient de me dresser sévèrement, ne laisser passer aucune incartade.
Ne t’inquiète pas, ce sera fait. As-tu préparé le repas ?
Non, maître, j’ai oublié.
Oublié ! j’ai l’impression que tu veux être punie. Dis-moi, je rêve ou ta culotte est trempée.
Non maître, vous ne rêvez pas.
Donne-la-moi !
Je me contorsionnai pour faire glisser le sous-vêtement le long de mes jambes et le tendit à celui qui était devenu mon maître. J’entendis le froissement du tissu dans sa main puis une inspiration. Il devait en sentir l’odeur.
Jamais encore je n’avais eu l’occasion de sentir ton odeur, espèce de salope. Tu as toujours été frigide avec moi. Mais je pense que cela va changer, n’est-ce pas ?
Oui maître. Je vous appartiens.
Bien, alors tu vas te déshabiller entièrement, tu iras dans le hall, tu claqueras la porte et tu m’attendras.
Oui maître.
Toujours à genoux, je fis glisser ma jupe, déboutonnai mon corsage et dégrafai mon soutien-gorge. Je me retrouvai entièrement nue. Je me relevai, gardant toujours la tête baissée et j’ouvris la porte. J’eus un moment d’hésitation, ...
... bien vite réprimé par un raclement de gorge de mon maître. Je sortis donc et refermai la porte sur moi. Je restai seule dans le noir.
Combien de temps dura mon attente, je ne saurais le dire mais je poussai un soupir de soulagement lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Mon maître me tendit une robe que je ne mettais plus car trop courte. Je la passai. Elle m’arrivait à ras des fesses et je savais que le moindre mouvement en avant ou en arrière dévoilerait tout. Mon maître ne semblait pas s’en soucier et il appuya sur le bouton de l’ascenseur. Je marchais à ses côtés lorsqu’il me reprit :
Désormais, tu marcheras et te tiendras toujours à deux pas derrière moi, tête baissée et mains dans le dos, même dans la rue.
Bien maître.
Lorsqu’il entra dans l’ascenseur, je me mis derrière lui, comme demandé. Nous pénétrâmes dans le parking et il me réprimanda lorsque je passai de mon côté.
Tu dois m’ouvrir la porte. N’oublie pas que tu es ma boniche.
Oui maître.
Je fis donc le tour de la voiture et lui ouvrit la porte. Il monta, je refermai et vint m’installer à côté de lui. En sortant du parking, il me dit :
Aujourd’hui, nous allons fêter ta décision. Je t’emmène au restaurant. Mais dès que nous serons rentrés à la maison, tu reprendras ta condition de boniche.
Oui maître.
Nous allâmes dans un restaurant inconnu de moi, mais pas de Frank, puisque le maître d’hôtel le salua comme un habitué et le conduisit à sa table. Il y avait peu de monde et à côté de nous, ...