Aurélie
Datte: 05/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... chaise, m’avait empoigné le bras et basculée sur ses genoux. Je dus poser les mains au sol pour ne pas heurter le plancher du visage. Aussitôt, il retroussa ma jupe, baissa ma culotte et entreprit de me fesser. Chaque claque retentissait fortement et mes fesses se mirent à rougir très vite. J’avais beau me trémousser pour lui échapper, il me tenait trop bien. Et je ne pouvais me servir de mes mains, obligée de les garder à terre. Sous la douleur et la honte, je me mis à pleurer. Frank n’en avait cure et continuait à me fesser. Soudain, contre toute attente, je sentis une douce chaleur irradier mon sexe. Montant crescendo, je sentis un plaisir jamais ressentit, m’envahir. Et bientôt, mes trémoussements tentaient de cacher l’orgasme dévastateur qui m’emporta. Frank s’en aperçu-t-il ? Je ne sus pas mais il cessa de me fesser. Me redressant brutalement, il m’ordonna :
Retourne-toi, les mains sur la tête.
Anéantie, j’obéis. Il prit le bas de ma jupe, le roula jusqu’à la taille et coinça le tout dans la ceinture. Puis il me dit :
Tu vas aller au coin, comme cela, à genoux et les mains sur la tête. Tu y resteras jusqu’à ce que je rentre.
Entravée par ma culotte tombée sur mes chevilles, je me rendis en clopinant dans le coin et pris la position demandée. Je savais que j’avais l’air particulièrement ridicule, à genoux, la culotte sur les chevilles, le cul rougi, les mains sur la tête. Mais il ne me serait pas venu à l’idée de désobéir. J’étais ...
... matée.
J’étais toujours dans la même position quand il revint. J’avais mal aux genoux et aux bras, mais j’étais fière. J’avais résisté.
Lève-toi et suis-moi.
Je me levai tant bien que mal et le suivit dans le salon. Je marchais plus librement, ma culotte m’ayant abandonnée lors du trajet. Ma jupe était toujours relevée et j’avais gardé mes mains sur la tête.
Il s’assit dans son fauteuil et me dit :
Reste debout devant moi. Tu n’es bonne à rien et je pense que tu le resteras. Tu n’es qu’une souillon. Voilà ce que je te propose : tu vas devenir ma boniche. Voici ce que tu devras respecter :
Premièrement, une boniche ne tutoie pas son patron. Donc, tu me vouvoieras et m’appelleras maître.
Deuxièmement, tu feras le ménage, entretiendras la maison, laveras et repasseras le linge.
Troisièmement, tu vas prendre des cours de cuisine, ainsi cela ira déjà mieux.
Quatrièmement, tu t’occuperas de moi. Tu me serviras mes repas, sans jamais t’asseoir avec moi. Si je te le demande, tu me laveras, m’habilleras.
Cinquièmement, je te baiserai quand et comme bon me semblera et tu ne pourras refuser. Tous tes trous devront m’être accessibles. Après, tu me nettoieras avec ta bouche.
Sixièmement, je pourrai amener à la maison qui je voudrai et tu devras leur obéir comme à moi.
Septièmement, sache qu’un maître de maison peut baiser sa boniche, mais ne dort pas avec. En conséquence, tu dormiras cette nuit dans la petite chambre, qui deviendra la tienne si tu décides de ...