1. Aurélie


    Datte: 05/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    Je me présente, Aurélie, vingt-cinq ans, brune, un mètre, soixante-sept, quatre-vingt-cinq A, soixante-deux, quatre-vingt-cinq, vivant maritalement depuis trois ans à Frank. Peu portée sur le sexe, je me force au « devoir conjugal ». Frank semble s’en accommoder car nos relations sont rapides et espacées. Quelques semblants de caresses, puis il me pénètre dans la position du missionnaire et fait « sa petite affaire ». Je suis plus épanouie côté professionnel. Chargée de projet, je dirige une équipe de cinq personnes.
    
    C’est au mois de septembre, au retour de vacances que ma vie a basculé. Je suis convoquée par le directeur des ressources humaines qui me signifie une procédure de licenciement pour faute grave. En effet, un document rédigé par mes soins a disparu et a coûté vingt mille euros à ma société.
    
    Malgré toutes mes tentatives de justification, je suis licenciée le vingt-cinq septembre. Au cours des six mois qui suivirent, je me lançai à corps perdu dans la recherche d’un nouveau travail, mais je dus me faire une raison, il n’y avait rien pour moi. Au fur et à mesure du temps, je diminuai mes prétentions, en vain.
    
    Ce soir du trois avril, Frank me dit :
    
    Je me demande si tu retrouveras un jour du travail.
    
    Mais si chéri, je continue à chercher.
    
    On ne veut même pas de toi comme femme de ménage.
    
    Cette assertion, véridique, me laissa sans voix et me fit monter les larmes aux yeux.
    
    En attendant, nous allons devoir restreindre notre train de vie. Puisque ...
    ... tu ne travailles pas, tu devrais pouvoir faire le ménage et la cuisine.
    
    Mais chéri, tu sais bien que je suis nulle en cuisine.
    
    Tu apprendras. J’ai d’ailleurs donné son congé à Consuelo.
    
    Tu as quoi ?
    
    Consuelo ne viendra plus, tu la remplaceras, compris ? lança-t’ il d’une voix impérieuse.
    
    Bien, mon chéri. Comme tu veux.
    
    Ce soir-là, je pleurai mais il ne fit aucun geste pour me consoler. Il partit le lendemain en m’embrassant distraitement. Je me mis au travail. Le ménage ne me causa pas beaucoup de soucis, mais les problèmes surgirent lors de la préparation du repas du soir. Tout ce que je faisais échouait et lorsque Frank revint du travail, le dîner était brûlé, immangeable. Frank quitta l’appartement en maugréant, me laissant en pleurs. J’étais déjà couchée lorsqu’il rentra.
    
    Cette scène se reproduit tous les jours de la semaine, et le vendredi matin, Frank me lança :
    
    Si le dîner est encore mauvais ce soir, tu seras punie, compris ?
    
    Mais …
    
    Compris ?, me coupât’ il.
    
    Oui mon chéri.
    
    J’eu beau m’appliquer, lorsque Frank revint, le dîner avait l’air toujours aussi misérable. Assis à sa place, je le vis serrer les dents et c’est d’une voix vibrante de colère qu’il m’apostropha :
    
    Viens ici !
    
    Je me levai et me rendit près de lui, baissant la tête, les mains jointes devant moi.
    
    Qu’est-ce que c’est que çà, fit-il en désignant son assiette.
    
    Je ne répondis pas, sachant que ce serait inutile. Avant que je puisse réagir, il avait reculé sa ...
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