Où Marie s’émancipe
Datte: 01/10/2023,
Catégories:
ff,
fff,
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jeunes,
vacances,
essayage,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
rasage,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... s’occuper du repas. J’ai ramené deux bouquets de fleurs. Une impulsion : un pour moi, un pour elles. Elles sont en petite tenue. Normal. Apparemment, la décision de taille de touffe a été repoussée. Je vais me mettre à l’aise également. Ma robe est moite, mon incontournable paréo la remplacera avantageusement.
— Vous préparez la table pendant que je me change, mes puces ? Je porte le bouquet dans votre chambre en montant, si vous voulez.
— D’accord, M’an
— Merci pour les fleurs, Chantal.
Les contrevents sont fermés et il règne une chaleur étouffante dans la pièce où je pénètre. Elles n’ont pas dû l’aérer de la nuit, des remugles divers y flottent. Quand je m’habitue à la pénombre, je distingue un joli désordre ! Des tongs, des baskets, des tees, des shorts, des maillots traînent un peu partout, mêlés à des CD et des bouquins. Tiens, pas de culottes… Le lit est défait, le seul drap est chiffonné. Il porte encore l’empreinte des fesses qui s’y sont posées. Je passe la main, par réflexe, pour le défroisser. Il est tiède et humide par endroits. Transpiration, ou autre chose ?
Une curiosité amusée me pousse, je renifle : les deux ! Exhalaisons âcres, fragrances de vanille et d’agrumes, effluves de cannelle et de pêche, parfums acides et vague relent marin. Manifestement, elles sont restées assises ici un long moment, sans doute presque tout le temps de mon absence. Je suppose qu’elles ont parlé de moi, de leurs impressions sur ma démonstration, de ce qu’elles ont vu ou ...
... deviné de ce qui a suivi, et quelque chose me dit qu’elles ne se sont pas bornées à échanger des mots ni des gestes anodins.
Après tout, si elles avaient envie de se comparer, de se toucher, de se masturber, c’est de leur âge ! De tout âge, devrais-je dire. Je ne vais pas jouer les mères-la-pudeur ou les mères-la-morale, cela me siérait mal… Non, ce qui m’ennuie c’est que j’ai fait voltiger ma robe par-dessus les moulins en entrant et qu’en me posant sur le lit pour explorer le drap, j’ai ajouté la sueur de mes propres fesses et mes odeurs intimes au mélange préexistant. Bof ! Au point où il en était…
— J’ai mis vos fleurs dans la salle de bain, il fait trop chaud dans votre chambre, les avertis-je en redescendant parée de mes longs voiles qui s’entrouvrent à l’air tiède du jour. Il faudra penser à ouvrir la fenêtre cette nuit, et à changer le drap.
Croyez-vous qu’elles manifestent une quelconque gêne en répondant ? Pensez-vous ! Elles approuvent mes conseils d’un air si chaste qu’on leur donnerait le Bon Dieu sans confession.
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Les jours s’écoulent, heureux et insouciants. Nous vivons à poil la moitié du temps. S’il faut descendre en ville, une légère robe suffit – une robe pour chacune, évidemment, je ne sors pas couverte de mon seul paréo ! Même Marie s’y est mise. Aller seins et cul nus sous un fin tissu ne la rebute plus. Elle m’a étonnée un matin en se présentant la touffe impeccablement taillée et sculptée en étroit triangle. Elle ...