Où Marie s’émancipe
Datte: 01/10/2023,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
vacances,
essayage,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
rasage,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... rasoir.
— Si vous permettez, je peux vous aider
— Heu…
Que dire ? Elle me regarde avec une candeur angélique – un ange n’a pas de sexe, n’est-ce pas ? –, à croire que je m’imaginerais des choses ! En plus, elle n’a pas tort : écarter la grande lèvre, repousser la petite, et manier le rasoir, deux mains n’y suffisent guère. Je me rends à la raison(hum…), je transige.
— Ben… oui, si tu veux… pose tes doigts près de l’aine pour tendre la peau(de ma chatte !), je m’occupe du reste(oui, quand même !).
Ça lui suffit, elle a un bon prétexte pour me toucher – au cœur fendu – en tout bien tout honneur. Et moi, je frémis de cet attouchement en m’efforçant de ne pas le montrer. Oui, mais, ça bat la chamade dans ma poitrine, mes seins durcissent, mes tétons pointent, et la lame glisse maladroitement sous ma main tremblante. Je m’obstine, m’y reprends à deux, à trois fois, viens à bout des rebelles, enfin, des deux côtés. Je me crois sauvée, je déchante.
Je peux tenter de contrôler mon trouble, pas les phéromones(question idiote : les yogis y arrivent-ils ?). Les joues de Marie s’empourprent de plus en plus, sa respiration se fait oppressée. Ses yeux sont rivés sur l’épicentre du séisme qui me remue. Je suis incapable de maîtriser les ondées qui sourdent de mon ventre. J’en ressens le flux, j’en devine les effluves. Qu’en est-il pour elle ?
Déjà, ses doigts se sont égarés sur mes festons en changeant de place. Certes, ils ne les ont qu’effleurés, mais un éclair de ...
... plaisir m’a traversée. S’ils avaient frôlé mon clitoris, j’aurais crié. J’ai atteint la limite du supportable. Je vais l’implorer de me caresser si je ne mets pas fin à ce jeu.
— Mer… merci, Marie. Je pense que ça suffit.
— Mais, est-ce qu’il ne faut pas passer une lotion adoucissante ?
Oh ce regret dans son regard ! Cet espoir tenace de prolonger l’instant ! Le souhait évident de me voir me masser, l’envie secrète de passer elle-même cette lotion, peut-être. Je reste ferme, quoi qu’il m’en coûte.
— Oui, tu as raison… Je préfère être seule pour le faire. Tu comprends ?
Elle comprend, j’en suis sûre. Ma vulve délaissée est restée éclose, une goutte de cyprine me taquine le périnée. Il faudrait qu’elle soit aveugle pour ne pas comprendre ! Hé bien, elle est apparemment aveuglée par son désir, elle insiste.
— Vous ne faites pas ailleurs ? Vous savez… derrière… je veux dire, le…
—(Quelle coquine !) Le sillon fessier ? Et autour de l’anus ?
Elle hoche la tête, en silence, trop prise par son émotion pour arriver à parler, au-delà du rouge de la confusion et de la convoitise, toujours fixée sur mes débordements.(Très bien, petite cochonne, je vais t’en mettre plein les yeux !) Je me penche en arrière, je relève une cuisse, j’empoigne ma fesse, je lui expose mon cratère et ma raie culière ouverte.
— Là ? Tu trouves que j’ai le cul trop poilu ?
— …
— Un peu de duvet, peut-être. Tant pis ! Quand c’est nécessaire, ce n’est pas facile. Il vaut mieux se confier à une ...