1. Perce-Neige de Prônant


    Datte: 21/09/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, grosseins, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, rencontre, Auteur: GillesP, Source: Revebebe

    ... sur les seins de je ne sais plus quelle actrice dans je ne sais plus quel film, en lançant une phrase du genre :
    
    — Vous n’avez pas besoin de quelqu’un, madame Lulu, pour vous aider à porter tout ça ?
    
    Je revoyais des plans séquences à la télé où Audiard parlait. Puis Brel. Puis Brassens. La liste des chanteurs, des écrivains, des acteurs de mon enfance qui n’était plus là, défilait. Toutes les autres célébrités qui étaient venues régulièrement dans mon restaurant qui n’étaient plus et qui repassaient avec eux dans mes rêveries. Mes mains sont montées sur sa poitrine, était-ce elle que j’avais jadis aidée ? Ses fesses ondulaient sur ma verge tendue comme à vingt ans. Notre désir de jouir encore de la vie était là. Mes caresses se faisaient plus appuyées. Nous ne disions rien. Peut-être rêvaient-elles aussi à tout le temps passé, à Desproges disparu et à tous les autres. La pendule marquait 10 h 20. J’ai tiré sur la ceinture de sa robe, le nœud s’est défait comme s’il avait été mis là pour faciliter les choses. J’ai caressé son ventre longtemps, patiemment. À 10 h 23, sa robe est tombée au sol. Elle portait un soutien-gorge noir et ce que les Québécois appellent une tondue, et que je n’aime pas écrire un string, de couleur assortie. Quand la mode du string est arrivée dans les années deux mille, nous avions tous les deux quarante ans. J’avais besoin de sa peau. Je me suis débarrassé de mon pantalon libérant mon sexe tendu. J’ai fait glisser le morceau de tissu affublé ...
    ... d’un nom ridicule en Québécois afin de pouvoir appuyer ma verge sur ses fesses épanouies. Desproges regardait son pubis que je n’avais pas encore vu en passant toutes les secondes. Ma verge a eu besoin de s’aventurer entre ses cuisses afin d’en explorer chaque recoin. À 10 h 24, j’ai dégrafé son soutien-gorge qui est tombé à terre. J’ai soupesé, caressé, peloté, énervé ses seins. Son postérieur est devenu furieux, cherchant à chaque balancement la caresse de mon sexe entre ses cuisses. Mes doigts en pinçant ses tétons ont provoqué les premiers gémissements de la toujours belle Perce-Neige. J’ai arrêté le temps en profitant de cet instant, j’ai répété mécaniquement chaque geste de mes doigts, chaque frottement de la paume de ma main, chaque mouvement de mon sexe, et ce pendant quatre bonnes minutes. Quatre minutes, c’est long, quatre minutes c’est si bon. Elle s’est retournée pour offrir ses fesses à Desproges qui a continué à l’admirer toutes les secondes. Le mot fougueusement ne suffit pas pour décrire la façon dont on s’est embrassés. À pleine bouche, à pleine langue, à pleines lèvres. Sa langue me rendait toutes les caresses que ma verge et mes doigts avaient prodiguées. J’ai eu cette surprenante impression qu’elle me masturbait la bouche qui éprouvait une sensation de plaisir formidable. Je l’ai plaquée contre la pendule, massant ses seins, me frottant contre son pubis. Elle a fini par s’accrocher à mon cou, à relever une jambe puis l’autre atour de ma taille. Mon sexe a ...
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