1. Perce-Neige de Prônant


    Datte: 21/09/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, grosseins, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, rencontre, Auteur: GillesP, Source: Revebebe

    ... la chevelure classique des femmes de son âge, coupée mi-long d’un blond châtain teint, elle faisait heureusement plus Sharon Store que Brigitte Macron. Son sourire était magnifique et quelques rides au bord de ses paupières montraient que le temps faisait quand même son travail.
    
    Ils ont parlé de repartir vers une heure du matin après que les derniers clients eurent quitté l’établissement. Je me suis inquiété de leur moyen de locomotion. Mes clients habituels rentraient chez eux à pied. Perce-Neige était venue en voiture qu’elle avait garée dans le parking du restaurant accompagnant ainsi son mari. Elle m’a demandé si elle pouvait la laisser la nuit et appeler un taxi. Je lui ai proposé de venir rechercher sa voiture le lendemain vers dix heures, c’est ce qu’elle fit. Je lui ai offert un café. Nous avons parlé de notre ami commun, j’allais lui parler de ses études pour enfin savoir si c’est elle que j’avais aidée dans son partiel de mathématiques quand elle me demanda si j’avais des photos de notre ami commun, celui qui devait l’embrasser à l’heure où je faisais la vaisselle et autres tâches de nuit dans mon restaurant. Je lui ai dit que j’avais effectivement un album photo en haut. Nous sommes montés. Elle portait une robe légère bleu marine à poids blancs dotée d’une ceinture dans le même tissu. L’échancrure de la robe ne laissait aucun doute sur l’épanouissement de sa poitrine. Dans la montée de l’escalier, j’ai bien sûr admiré son postérieur, un beau postérieur large ...
    ... sans être excessif. Quand elle eut franchi le tournant de l’escalier, j’ai pu admirer le dodelinement de sa poitrine à chacune des marches gravies. Elle m’a attendu sur le plateau supérieur de l’escalier en admirant la vieille pendule à balancier en face d’elle. Elle m’a demandé d’une voix amusée :
    
    — Elle marche encore ?
    
    Je suis arrivé derrière elle et lui ai fait remarquer que le balancier passait devant la lucarne toutes les secondes. Elle a ainsi remarqué la tête de Pierre Desproges sur le plateau du balancier.
    
    — C’est la pendule qu’a utilisée Pierre Desproges pour sa minute nécessaire ?
    — Non, mais il m’a donné sa photo, et plutôt que de l’afficher dans le restaurant, je l’ai mise là. Tous ces gens que j’ai connus qui ne sont plus ! J’ai soixante ans.
    — Moi aussi, le temps passe !
    
    Elle s’est reculée pour voir la tête de Desproges se balancer, j’étais là. J’ai pensé à la phrase de Boby Lapointe dans le film de Sautet les « Choses de la vie » qui racontait comment la voiture de Piccoli avait eu son accident :
    
    — Elle m’est arrivée en plein dessus, j’ai vu le moment où ça y était.
    
    Je n’ai pas reculé. Elle ne s’est pas avancée, j’ai laissé ma verge s’épanouir contre ses fesses. J’ai fait la seule chose que je pouvais faire. J’ai mis ses mains sur ses hanches en pensant à la chanson de Salvator Adamo. J’ai caressé ses hanches un moment. Nous écoutions le tic-tac de la pendule. Nous écoutions le temps passer encore. Je repensais à Jean Gabin mettant les mains ...
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