1. La Corotte de Tchotchon (4)


    Datte: 02/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... mon être tout entier aux plaisirs renouvelés. Gustave proposait une douche. J’acceptais avec une joie non feinte sans avoir pris conscience que c’était… commune qu’il l’espérait. Finalement c’était dans une immense baignoire que nous retrouvions allongés.
    
    Lui avait la tête collée contre le mur, dans cette partie avoisinant la robinetterie, moi j’occupais forcément l’autre côté. Et les papouilles d’abord par jeux reprenaient dans une eau tiède, dans laquelle une bonne rasade de sels moussait à chacun de nos mouvements. Au bout d’un moment nous n’avions plus que nos visages hors de la couche blanche odorante. Je ne voulais plus savoir pourquoi les mains de mon nouvel amant allaient partout sous ce tapis d’une épaisseur confortable. Pas un seul centimètre de ma peau n’avait été oublié.
    
    Le peintre furetait dans tous les recoins de mon anatomie et je me laissais bercer par un bien-être que je rêvais sans fin. Les doigts revenaient sans arrêt dans des replis qui me faisaient frémir. La difficulté résidait dans le fait de ne pouvoir écarter les cuisses pour que les pattes masculines vagabondent là où il me plaisait qu’elles trainassent. Il tirait alors la bonde et l’eau s’évacuait, mais pas la mousse. C’était bien dans cette pellicule agréable qu’il me faisait mettre à quatre pattes. Et la suite n’était guère difficile à envisager. Les claquements de son ventre contre mes fesses ne perturbaient pas mes gémissements.
    
    J’avais la chair de poule et chaque avancée du bassin de ...
    ... Gustave la gardait une seconde supplémentaire. Quand mon corps dans son intégralité se mit à trembler, plus rien autour de moi, ne gardait de contours bien nets. Les objets disséminés sur les rebords de la baignoire, ceux qui se trouvaient sur des étagères proches du lavabo, tout devenait flou. Mon souffle de plus en plus saccadé annonçait ce que mon esprit pressentait comme un feu d’artifice. L’explosion en moi de ce bambou navigateur, me laissait pantoise et exsangue.
    
    De longues minutes, je ne réagissais plus à rien, seulement enfoncée dans une sorte de ouate aussi fine que la mousse qui se diluait lentement en millier de bulles irisées. Gustave était sorti de la salle d’eau depuis combien de temps ? Je n’en gardais pas le moindre souvenir. Par contre les spasmes continus qui persistaient à contracter mon ventre à intervalles irréguliers me rappelaient eux, que je venais de connaitre un formidable orgasme. Pour achever cette toilette, je passais alors un ultime coup de flotte sortie de la douchette sur mon corps encore frémissant.
    
    Dans son atelier, il m’attendait. Nous n’avions plus à échanger un seul mot, et notre rapprochement devenait presque fusionnel. Nos lèvres se mariaient avec une facilité déconcertante, nous ramenant au bord d’envies lubriques insatiables. Et pourquoi se priver, dans ce cas, d’une soirée agréable déjà bien entamée ? De ses lèvres à son bas ventre, ma bouche avait alors parcouru la distance sans précipitation, goutant au passage à des sentiers ...
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