Le fantôme de mon cœur
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... découvert ce triangle de feu vaut bien tout l’or du monde… Et je ne m’en lasse pas.
Je prends mes seins à pleines mains, les caresse, les soupèse, joue quelque peu avec les pointes. Celles-ci réagissent paresseusement, sans grande conviction. Quant à mon ventre, il semble être aux abonnés absents, comme en témoigne mon sexe qui s’acharne à rester aussi sec que le Sahara.
Moi, perso, je me serais bien fait une petite branlette, mais on dirait bien que mon corps n’en a pas envie. Bah, on verra plus tard…
Soudain, tout s’accélère : un courant d’air froid, et le contact caractéristique d’une main qui se plaque sur ma bouche, tandis qu’une autre se pose brutalement sur mon ventre et m’écrase les fesses contre ce que je reconnais aussitôt comme un tartan ainsi que le renflement qui m’a tout l’air d’être celui d’unsporran de fourrure. Impossible de crier, de bouger ; ce que j’identifie désormais comme des mains d’homme m’interdisent le moindre mouvement…
Mais le pire vient du reflet dans la glace en face de moi, où il n’y a précisément… que moi.
Personne. Aucun reflet à l’exception du mien ; mais des mains d’hommes m’emprisonnent. Je me débats, j’essaie de crier, mais rien n’y fait. Au bout de quelques instants de lutte acharnée, à bout de souffle, je baisse les bras. C’est alors que des paroles venues d’on ne sait où parviennent à mes oreilles.
— Ne criez pas, Jennifer, je vais vous lâcher. Promettez-moi de ne pas hurler ; je vous donne ma parole que je ne vous ...
... ferai aucun mal.
Mais d’où vient donc cette voix ? Autant que les mains de l’homme me le permettent, je tourne ma tête à droite et à gauche. Cette fois totalement à bout de forces, je cesse de me débattre. S’il s’agit d’une blague, elle ne me fait pas rire.
— Calmez-vous, Jennifer. Je vous le répète, je ne vous veux aucun mal… Promettez-moi simplement de ne pas hurler.
Il est marrant, lui ! Alors, malgré son étreinte, je hoche la tête en signe d’acceptation. La voix, jusqu’ici sourde et caverneuse, devient subitement beaucoup plus chaude, presque sensuelle.
— Je suis Mac Hillian…
Je n’en crois naturellement pas mes oreilles.
— Le fantôme du château ? Vous vous foutez de ma gueule ?
En guise de réponse, une magistrale gifle m’expédie sur le lit.
— Je suis infiniment désolé, mais je crois bien qu’il faut que vous me preniez au sérieux. Et surtout, que vous cessiez de hurler.
Complètement affolée, je cherche partout autour de moi d’où pourrait bien venir la supercherie. En attendant, ma joue me brûle et là, dans cette satanée glace, la marque de la main est nettement visible. Ne sachant que faire, je reste sur le lit.
— Je ferai tout ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, ne me frappez plus…
— Encore une fois, je suis désolé pour cette gifle, mais il le fallait.
Il est toujours extrêmement difficile de savoir si quelqu’un est sincère, encore un peu plus lorsqu’on ne le voit pas. Pourtant, je crois discerner dans le ton de sa voix quelques ...