1. Le fantôme de mon cœur


    Datte: 30/06/2019, Catégories: f, fh, Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, fouetfesse, délire, merveilleu, fantastiq, amourpass, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... regrets… Et, eu égard à la gifle que je viens de prendre, je n’ai aucune envie de prendre des risques.
    
    — Qu’attendez-vous de moi, Mac Hillian ?
    — Cela fait quatre cents ans que je hante ce château ; quatre cents ans que j’essaie de prendre contact avec une humaine, et voilà je vous ai enfin trouvée…
    — Pardon ?
    — Oui, la main au cul dans l’ascenseur, c’était moi. Veuillez m’en excuser.
    
    Je n’avais pas rêvé… Mais cela ne change rien au problème.
    
    — Peu importe. Dites-moi plutôt ce que vous voulez de moi…
    — Si vous connaissez la légende, vous savez qui est l’élue.
    — L’élue ?
    — La seule personne qui puisse briser le sort qui me retient ici. Encore une fois, cela fait quatre cents ans que je vous attends…
    — Ah ? Parce que l’élue, c’est moi ?
    — Absolument, Jennifer…
    
    « Ben voyons ! Fantôme ou pas, prends-moi pour une bille ! » Malgré la peur qui m’étreint, je décide de ne pas me dégonfler.
    
    — Écoutez, Mac Hillian, si vous voulez que je vous aide, je ne suis pas certaine que vous vous y êtes pris de la meilleure façon possible…
    
    Je lui montre ma joue où, peu à peu, la marque de ses doigts s’estompe.
    
    — J’en suis désolé, Jennifer. Donnez-moi votre main, s’il vous plaît, et laissez-moi me faire pardonner…
    
    Je n’y comprends rien, mais la main qui vient d’attraper la mienne et m’invite à me lever me semble bien réelle. Et soudain, je réalise brusquement que je suis nue… Sans réaliser le ridicule de la situation – après tout, je ne sais absolument pas où il se ...
    ... trouve – j’entreprends de cacher ma case trésor et mes seins avec mes mains.
    
    — Ne soyez pas ridicule, Jennifer, cela fait une semaine que je vous observe, et vous êtes beaucoup trop belle pour être bêtement pudique. Et puis, je vous regarde vous caresser quasiment tous les soirs ; je peux vous dire que vous êtes ravissante lorsque vous jouissez…
    
    Oh, l’affront ! J’en ai le rouge qui me monte aux joues.
    
    — D’ailleurs, à ce sujet…
    
    Cette fois, ses mains attrapent mes poignets, et même si cela est fait sans aucune brutalité, je me retrouve bien vite avec les mains dans le dos, totalement offerte à sa vue. Encore une fois, je ne vois rien, mais je sais qu’il est à côté de moi.
    
    Je suis sur le point de lui demander de me lâcher lorsque je sens subitement quelque chose se poser sur mon corps. Oh, mon dieu ! Mais qu’est ce que c’est que ce truc ? Pas facile à dire, puisque qu’encore une fois, je ne vois rien…
    
    Mais en attendant, je connais cette sensation. Qui donc avait un gant de vison ? Michael, Brandon, à moins que ce ne soit Élodie ou encore cette diablesse de Christina ? Je ne sais plus, mais ce contact infiniment doux est tellement agréable que je ne trouve pas la force de protester, même si ce prétendu fantôme continue de me retenir par les poignets.
    
    La délicate fourrure parcourt mon corps, s’attarde sur mes seins, glissant et glissant encore en une exquise torture sur mes tétons, qui se redressent instantanément. Mon ventre se tord ; jusque-là étonnamment ...
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