1. Le fantôme de mon cœur


    Datte: 30/06/2019, Catégories: f, fh, Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, fouetfesse, délire, merveilleu, fantastiq, amourpass, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... jusqu’à mes fesses. Le temps de comprendre, un doigt inquisiteur vient de prendre possession de ma caverne intime, totalement détrempée. Là encore, je manque d’en défaillir de bonheur.
    
    Mais bon dieu, que m’arrive-t-il ? Ce mec que je ne vois pas, qui n’est même pas humain, est en train de me coller des beignes et moi, j’en réclame ? Suis-je subitement devenue folle ?
    
    En attendant, il me semble bien que mes questions existentielles devront patienter, puisque ces doigts qui furètent désormais dans ma chatte sont en train de m’emmener, une fois de plus, vers le septième ciel. Trois doigts coulissent désormais en moi, dans un florilège de bruits mouillés à faire pâlir la plus délurée des hardeuses ; cela devrait plutôt me faire honte et pourtant, tout au contraire, cela m’excite…
    
    Circonstance aggravante : s’il avait commencé à me doigter avec une certaine délicatesse, les allers et venues de ses doigts tout au fond de mon ventre se font désormais avec la douceur d’un marteau-pilon. Cette fois, je n’y tiens plus. Le raz-de-marée m’engloutit, je suis tel le fétu de paille emporté par une vague de jouissance qui me semble ne jamais devoir finir.
    
    Surtout, ne pas ouvrir les yeux… Mais cela ne m’empêche pas d’entendre ce qu’il me dit.
    
    — Purée, vous êtes exactement comme Either… Quatre cents ans pour en arriver là…
    
    Je me blottis dans ses bras. Mais bordel, qu’est-ce qui m’arrive ? Ce type vient de m’en coller deux comme je n’en ai sans doute jamais reçues, il vient de ...
    ... me branler comme l’on n’oserait pas le faire avec la dernière des putes… Et moi, tout ce que je trouve à faire, c’est me précipiter dans ses bras et poser ma tête contre sa poitrine !« Décidément, cela ne va pas mieux, cocotte… »
    
    Ah ben tiens, il n’y a pas que moi qui ne vais pas fort… Là, le long de ma joue, quelque chose que je reconnais instantanément, d’autant que le goût est aisément reconnaissable : des larmes. Mais ce ne sont pas les miennes.
    
    — Parlez-moi d’Either, Mac Hillian. Comment se fait-il qu’au bout d’autant de temps, vous l’ayez encore à ce point dans la peau ?
    — Je ne sais pas… Elle était si pure, si adorable, si divinement belle… J’aimais tout d’elle : son délicat parfum de fleurs d’oranger, sa peau de satin, ses yeux de braise et son corps de déesse… Et vous, Jennifer, vous êtes si semblable et en même temps si différente d’Either…
    — Ne pleurez plus, Mac Hillian, je suis là…
    
    Encore une fois, je ne sais pas ce qui me passe par la tête… En ne me guidant qu’au toucher, je m’agenouille devant lui et glisse ma tête sous le kilt que je vois d’autant moins que j’ai les yeux fermés. Apparemment, la coutume dit vrai : son sexe est libre et il ne tarde pas à se redresser au contact de ma langue… Tandis qu’il ne cesse de durcir sous mes caresses, la taille de l’objet devient de plus en plus évidente. Oserais-je dire que Mac Hillian est sacrément bien monté ?
    
    L’envie de le faire languir comme il me l’a fait quelques minutes plus tôt me traverse aussitôt ...
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