Le fantôme de mon cœur
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... l’esprit, mais je n’en ai pas le temps. Sans dire un mot, il m’attrape par les épaules, me redresse, et le temps de comprendre, je me retrouve allongée sur le lit. Un genou force mes jambes, deux mains puissantes me maintiennent fermement, et je n’ai ni l’envie ni la force de m’y opposer. Nue, totalement offerte, Mac Hillian m’embroche alors avec une vigueur insoupçonnable et commence à me ramoner comme si sa vie en dépendait. Enfin, c’est une expression, puisqu’il est censé être déjà mort depuis longtemps…
« Surtout, ne pas ouvrir les yeux ! » ; cette pensée m’obsède. Est-ce pour cela que je ne sens pas l’orgasme pointer ? Il me surprend, violent, brutal, terriblement sensuel.
J’ouvre les yeux. Où est-il ? Pour un peu, je pourrais avoir rêvé, si ce n’était cette substance invisible qui coule entre mes lèvres et qui ressemble terriblement à de la semence. Je sens de nouveau une main prendre la mienne ; je referme les yeux. Nos langues de mêlent dans un baiser que j’aimerais ne jamais voir finir.
— Ne partez pas, Mac Hillian, je vous en supplie. Restez avec moi.
— Très bien. Mettez-vous au lit, je vous rejoins.
J’ai toutes les peines du monde à le lâcher. Il s’en aperçoit.
— Ne vous inquiétez pas, je n’ai qu’une parole. Si je vous dis que je reste, c’est que je reste.
Là-dessus, je me glisse sous les draps, très vite rejointe par un corps nu, chaud et manifestement terriblement musclé.
— Et puis, vous êtes l’élue, vous savez. J’ai vraiment besoin de ...
... vous.
Tandis que je sombre dans le sommeil, je souris intérieurement. Ceux qui ont déjà vu un fantôme ne sont pas nombreux, et l’ont généralement décrit comme se promenant sous un drap. Moi, par contre, j’en ai un sous mes draps, et dans mes bras. Y’a pas à dire, cela a quand même plus de gueule…
---oooOooo---
Oui, la nuit a été agitée, mais pas de la façon à laquelle je m’attendais. J’étais persuadée que j’allais avoir affaire à une longue suite d’accouplements bestiaux, mais il n’en a rien été. Mac Hillian est un artiste, un virtuose de la baise, capable de vous faire crier aussi fort en vous titillant le bouton magique du bout de sa langue ou en vous pilonnant la chatte de son énorme dard. Incontestablement, malgré ses quatre siècles d’abstinence, il n’a pas trop perdu la main ; je ne sais même pas si j’ai réussi à dormir deux heures cette nuit… Et encore, par intermittence.
Un souffle délicieusement tiède me tire des limbes.
— Réveillez-vous, Jennifer. Nous avons rendez-vous avec la directrice…
Tout en m’efforçant de ne pas ouvrir les yeux, je le prends dans mes bras, et j’enfouis mon nez dans la fourrure de son torse. Son parfum est merveilleux…
— Jennifer, nous allons être en retard… Levez-vous, s’il vous plaît.
Toute à mon bonheur, je fais mine de ne pas avoir entendu.
— Jennifer, ma chère…
Là, sans prévenir, il me claque gentiment le cul. Certes, le coup n’est pas très appuyé, mais mon cul est encore un peu endolori de ce qu’il a subi la ...