La vie de château
Datte: 27/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
campagne,
fête,
soubrette,
cérébral,
Oral
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... Attends, Elodie, je te raccompagne !
Il s’éloigne un instant pour prévenir son frère et ses amis, me prend par la main et me mène jusqu’à sa voiture. Il démarre. Un silence un peu lourd s’installe, que je ne veux pas rompre. Il pose une main sur mon genou tout en conduisant, je le laisse faire. Elle remonte lentement à l’intérieur de ma cuisse, grisant ma peau d’intenses fourmillements. Je m’entrouvre un peu, trahissant tacitement mon consentement. Il atteint le liseré de dentelle de mon shorty ; je soupire. Il s’arrête à l’entrée du domaine et allume le plafonnier. Surprise, je sursaute et grogne mon dépit.
— Élodie, je veux te voir, tu es si belle… me susurre-t-il en se penchant vers moi et en m’embrassant.
Son baiser est plus profond, plus fougueux que ceux échangés sur la piste de danse, sa langue fouille ma bouche comme un petit sexe. Ses mains, fébrilement, ouvrent ma robe et en repoussent les pans sur les côtés. Il se recule un peu et contemple un bon moment mon corps et mes jolis dessous. Une idée saugrenue me traverse l’esprit.« Et s’il devinait que c’est son propre père qui me les a offerts ? » Son regard glisse sur moi comme une vraie caresse et, étrangement, il ne me touche pas ; il sort de la voiture, ouvre ma portière, me prend par le bras, me porte presque vers le capot de la voiture où il m’adosse. Je sens sur mes reins la chaleur du moteur. Ma passivité trahit mon envie d’aller plus loin avec lui. Il m’ôte ma robe ; mes mains explorent et ...
... dénouent sa ceinture, font glisser d’un seul geste slip et pantalon. Son membre jaillit, orgueilleux, prometteur. Voilà plus de trois mois que je suis sevrée du troublant et doux contact d’un sexe masculin ! Le contraste entre la douceur de la peau et la fermeté de l’objet me trouble. Mes mains courent sur son bas-ventre pendant qu’il ôte l’agrafe de mon soutien-gorge. Sur son aine, je sens un fin et long bourrelet qui m’étonne. Je lui soupire :
— Tu t’es blessé ?
— Oh, non, c’est vieux, au moins trois ans. Un accident de scooter !
Ne me laissant pas le temps de lui répondre, il fait glisser mon shorty le long de mes cuisses, m’écarte un peu les jambes et vient poser son dard à l’entrée de ma fente humide. Il s’arrête un instant, muqueuse contre muqueuse, prolongeant à dessein mon délicieux supplice. Mais l’envie d’être prise est trop forte et, lançant mon bassin vers l’avant, je lui donne le signal de départ de son viril assaut. Repliant mes genoux au-dessus de ses épaules, il glisse aisément en moi, me pourfend et s’enfonce ; je l’absorbe, accueillante et offerte. Trop longtemps refrénée, cette simple poussée déclenche en moi un spasme de jouissance et je deviens fontaine. Il s’arrête, solidement fiché dans mon intimité. Je reprends souffle et esprit, sous ses yeux amusés. Et dès que je suis calmée, il reprend son viril pistonnage ; je griffe ses épaules, je lui mords le cou. Il augmente sa puissance, mâle dominateur, toujours plus loin en moi. J’avais oublié combien la ...