La vie de château
Datte: 27/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
campagne,
fête,
soubrette,
cérébral,
Oral
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... choisie me convient parfaitement. Je sors ainsi (dé) vêtue, et entame une danse endiablée, comme si j’étais au milieu des gens de mon âge, dans une boîte de nuit. Cette fois, Monsieur laisse le morceau jusqu’à sa fin, éclate en applaudissements, émerge à la lumière et, s’approchant de moi, me serre dans ses bras et dépose deux gros baisers sur mes joues.
— Merci, ma petite Élodie : tu as été magnifique. Tu aurais pu faire une prodigieuse danseuse de cabaret !
Puis il retourne vers son bureau, remet les lampes dans leur position habituelle. Un peu étonnée par la fin en queue de poisson de mon show, mais consciente qu’il en a sonné le terme, je remets ma tenue de parfaite femme de ménage et retourne vaquer à mes occupations.
Le soir, dans mon lit, je revis le spectacle que j’ai offert à Monsieur. Le plaisir trouble que j’ai ressenti à m’exhiber ainsi devant lui est une découverte pour moi, mais je suis restée avec un étrange goût d’inachevé par sa fin qui m’empêche de dormir… Heureusement, je pense aux jumeaux ; ils reviennent demain soir, mais cette perspective délicieuse n’arrive pas à me calmer, au contraire…
Alors, prenant mon courage à deux mains, vêtue de ma seule nuisette rouge, pieds nus, je sors de ma chambre, prends le grand escalier, celui qui m’est normalement interdit, et descends… Arrivée au premier étage, j’oblique vers la chambre de Monsieur et en ouvre délicatement la porte. Il porte un pyjama rayé noir et blanc, que je connais pour l’avoir ...
... repassé, et qui lui donne un air de sympathique bagnard ! Il détourne les yeux de son livre en sentant ma présence. À son tour, il ouvre des yeux comme des billes lorsque je m’avance vers son immense lit. D’une petite voix enjouée, je lui confie :
— Monsieur, tout à l’heure, vous ne me m’avez pas laissé le temps de vous montrer ma jolie nuisette rouge…
Un silence un peu lourd s’installe entre nous, puis un grand sourire éclaire le visage de Monsieur.
— … ni d’ailleurs ce qu’il y a dessous, ajouté-je en l’ôtant et en l’envoyant promener au loin.
En ondulant les hanches, fière de ma nudité, je rejoins le lit et me glisse sous les draps.
Monsieur se penche vers moi, m’embrasse au coin des lèvres et me susurre :
— Ça ne te dérange pas que je laisse la lumière allumée ? Ainsi je pourrai bien te voir…
Ses mains partent à la découverte de mon corps ; je m’approprie le sien. Ses caresses sont douces et enveloppantes. Je fais glisser son bas de pyjama, en déboutonne le haut, souriant intérieurement : jusque là, c’était plutôt moi que l’on déshabillait ! Je me frotte félinement contre l’épaisse toison grise qui couvre la plupart de son corps, puis plonge mon visage sous les draps jusque vers son bas-ventre, en agace ses bourses de petits coups de langue ; il me pétrit les fesses. Je le prends tendrement dans ma bouche ; il a de la vigueur pour un homme de son âge, quoique ce dernier soit en vérité pour moi une grande première. Mais il ne me laisse pas le sucer bien ...